1. Une erreur de la nature. Deuxième partie.


    Datte: 04/10/2017, Catégories: fh, couple, Oral pénétratio, aventure, sf, fantastiqu, merveilleu, fantastiq, amourpass,

    ... milieu de l’endroit, et ne m’ont clairement pas entendu arriver. Visiblement, si la température de l’endroit est toujours largement inférieure à moins vingt, la situation est pourtant chaude, très chaude même, le garçon est en train de pratiquer à sa compagne un cunnilingus qui m’a tout l’air d’être d’enfer, à en juger la façon dont le bassin de la belle tangue et les gémissements qu’elle pousse. D’ailleurs, depuis quelques instants, il me semble bien que la situation se précise, le souffle de la fille s’accélère, s’accélère encore, son bassin se révulse, ça y est, elle jouit… Cela serait divin s’il ne s’agissait pas d’un feulement rauque, quasiment identique à un autre que je connais bien et dont j’ignore si je l’entendrai de nouveau un jour. Ravalant ma peine, je m’efforce de ne pas faire de bruit, d’autant plus que les hostilités reprennent, la fille vient d’emboucher le gars et lui administre une fellation trois étoiles. Tracy me disait toujours que lorsqu’ils copulaient, c’était d’abord pour se reproduire, on dirait bien que cela n’empêche pas les raffinements et autres petits plaisirs. C’est d’ailleurs assez amusant de remarquer que, différence de température aidant, dès qu’elle cesse de le sucer, un petit nuage de vapeur apparaît au-dessus de sa queue. Cela dit, maintenant, il n’y aura plus, puisqu’il vient de l’embrocher grand style, et que cette fois, l’affaire est grave. Il la pistonne furieusement, leurs gémissements résonnent dans l’espace clos, les cris ...
    ... s’intensifient, et elle part dans une longue jouissance, accompagnée par celle de son amant quelques instants plus tard. Ils restent ainsi plusieurs minutes, jusqu’à ce que, épuisés, ils s’enroulent tous les deux dans la peau de bête et s’endorment du sommeil du juste. Il est temps pour moi de regagner ma couchette sans faire de bruit, ce qui n’empêche pas la fille d’ouvrir les yeux à mon passage et de faire un clin d’œil avec un charmant sourire. Harassé, je tombe dans les bras de Morphée. Le lendemain, c’est l’odeur du lait chaud qui me réveille. C’est Lhamu, la fille, qui m’en apporte un bol fumant. Tsen, quant à lui, dort encore. — Le spectacle t’a plu, hier ?— Pardon ?— Je t’ai vu nous regarder quand nous faisions l’amour.— Je… Heu… Je ne l’ai pas fait exprès. Je suis arrivé, et, heu…— Ne t’excuse pas, cela n’a pas d’importance. Je n’ai aucune idée de quel animal provient ce lait, il est assez fort mais très bon. Et puis, une fois de plus, j’ai une dalle terrible. — Désolé, je n’ai pas de sucre… Dans un endroit pareil, c’est bien la dernière chose à laquelle je pensais. — Dis-moi, Lhamu, puis-je te demander où tu as appris ma langue ?— C’est Tessa et Jennifer qui me l’ont enseignée. Tessa ? Jennifer ? Dans cette forêt de prénoms tibétains, ils me semblent bien incongrus. — Et qui sont ces deux filles ?— Oh, tu les rencontreras tout à l’heure. Viens, tes fringues sont prêtes. Mes fringues ? Elles sont là, mes fringues, tout au fond de ce qui ressemble à mon lit. — Ah, c’est vrai, ...
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