1. Christophe


    Datte: 21/06/2020, Catégories: fh, extracon, plage, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme occasion,

    ... senti ses mains déboutonner mon bermuda et le glisser le long de mes cuisses, puis l’une d’elles se charger de mon boxer, libérant ainsi ma virilité douloureuse. Nous n’avons pas échangé un mot. Elle a tourné la tête pour m’offrir ses lèvres alors que d’une main elle guidait mon sexe vers le sien, frottant doucement mon gland dans la moiteur de son antre. Sa langue est entrée dans ma bouche alors que mon sexe la pénétrait, me plongeant dans un état de transe fabuleux. J’avais l’impression de la posséder totalement, tellement elle était légère et offerte. Mais cette position inconfortable était intenable. Elle s’est écartée de moi, flattant ma queue du bout de ses doigts en la regardant avec envie, puis s’est allongée sur la serviette, les cuisses ouvertes, m’invitant à revenir en elle. Depuis la séparation pénible d’avec mon épouse, je n’avais jusque-là fait l’amour que par besoin, avec des relations d’un soir, cherchant à en terminer rapidement, à me vider les bourses à leurs dépens. Pour la première fois depuis des lustres, j’avais envie de donner de la tendresse autant que d’en recevoir. C’est avec délicatesse que je suis venu à son contact, que j’ai collé mon corps sur le sien pour la couvrir de baisers et de caresses. Elle non plus n’avait visiblement pas envie que nous en terminions trop vite. J’avais l’impression qu’elle me rendait au centuple la tendresse que je lui prodiguais. Puis petit à petit, ma queue a trouvé seule le chemin du paradis, s’insinuant profondément, ...
    ... profitant de chaque millimètre de cet accueil brûlant qui s’offrait à sa raideur. Nous ne faisions qu’un, faisant lentement et tendrement l’amour sous la lune et les étoiles, sans un râle importun, quand je l’ai senti se tendre et soulever le bassin. Elle m’a confié dans l’oreille qu’elle allait jouir, que c’était bon, qu’il ne fallait pas que je m’arrête, que je faisais exactement ce qu’il fallait pour lui faire du bien… Sa jouissance, montée lentement, a duré une éternité. Une éternité voluptueuse, durant laquelle son corps et son esprit m’appartenaient. Quand elle a senti que j’allais moi aussi venir, elle a saisi mes fesses pour me maintenir en elle, me demandant à l’oreille de lui faire ce cadeau, de jouir au plus profond de son sexe. Je me suis retenu le plus longtemps que j’ai pu pour ne pas rompre le charme, pour enfin me libérer de ces tensions accumulées, comme elle me l’avait demandé, au plus profond. Nous sommes restés enlacés, tendrement, à nous embrasser, à nous regarder, à nous caresser, jusqu’à ce que la forme revienne. Et à nouveau nous avons fait l’amour. Pas baisé, non, fait l’amour. J’ai pu avoir l’illusion à cet instant que nous étions un couple, que nous nous aimions, que nous passerions notre vie ensemble. Mais je savais qu’il n’en était rien. Je ne savais pas par quel miracle il m’était donné ce samedi soir-là, d’atteindre un tel niveau de bonheur. Mais je savais qu’on contraire, dès le lendemain, il allait me falloir retourner à la dure réalité de ma ...
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