Christophe
Datte: 21/06/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
plage,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
occasion,
... pouvais voir ses yeux, et qu’elle voyait les miens. Elle n’a pas ralenti en se dirigeant vers moi. Elle n’a pas semblé offusquée de ma présence, et s’est comportée nue comme elle se comportait vêtue. Cette relative froideur qu’elle affichait habituellement à mon endroit était cependant absente ce soir-là, contrairement aux autres samedis soir. C’est en affichant un large sourire qu’elle m’a demandé de lui tendre sa serviette. J’étais tellement estomaqué par cette vision somptueuse qu’elle a dû répéter. Mes yeux vicieux, en quelques secondes, avaient eu le temps de l’observer en détail et de s’en émerveiller. Quelle belle femme, quelle classe ! Mon frangin avait vraiment de la chance. D’une main j’ai attrapé sa serviette pour la lui tendre. Elle s’en est emparée en me remerciant, puis a entrepris de s’essuyer. — — La lune est magnifique ce soir, me dit-elle en se retournant. Jeu de mots ? J’avais une vue en effet imprenable sur la lune, mais aussi sur ses fesses rondes et fermes, sur son dos lisse, sur ses cuisses qu’elle tenait légèrement écartées, révélant une toison discrète posée sur des lèvres charnues. Elle voulait que je regarde, c’était évident à sa façon de se pencher pour s’essuyer les genoux alors que je me tenais assis derrière elle. Elle a pris son temps, me laissant pantois et con. — Tu te rinces l’œil ? me demanda-t-elle d’un ton rieur ?— Je crois que oui. Je ne devrais pas ?— Puisque tu es là, profites-en, beau-frère ! Et puisque tu es là tu pourrais aussi ...
... m’essuyer le dos non ? En prononçant ces mots, elle avait passé la serviette au-dessus de son épaule, attendant que je la rejoigne. Ainsi j’allais la toucher, au moins au travers de la serviette. J’avais une de ces triques… Essuyer un dos, ça prend quelques secondes. Alors j’ai essayé de faire durer, de ne rien oublier, passant aux mêmes endroits, essayant de figer le temps. Jusqu’au moment où elle s’est retournée. Face à moi, tout près, je pouvais sentir son souffle chaud, son odeur de sel iodé. Figé comme un idiot, ne sachant que faire de mes mains, j’ai été pétrifié par son regard, et électrisé par sa main qui prenait la mienne pour se la poser sur un sein. — Tu peux me caresser si tu veux.— Ce ne serait pas raisonnable.— Tu n’en as pas envie ?— Ce n’est pas ça… c’est une situation gênante.— Ce serait plus simple si je n’étais pas face à toi n’est-ce pas ? dit-elle en se retournant à nouveau. Elle s’est reculée contre moi, a saisi mes mains ballantes pour les passer autour de son corps, m’invitant à abuser de sa douceur. J’ai cessé de réfléchir et je me suis laissé aller. J’avais tellement rêvé de la prendre dans mes bras cette belle plante. Et elle était douce, chaude, souple, m’invitant à l’explorer, à faire courir mes mains sur ses seins, son ventre, ses fesses, à me coller contre elle. Ses fesses me pressaient sans retenue, probablement à la recherche de ma rigidité pourtant flagrante. Elle ne parlait plus, laissant son corps de déesse exprimer son envie du moment. J’ai ...