La folie du pleutre 10
Datte: 04/10/2017,
Catégories:
Dans la zone rouge,
... contact. Toujours collée à sa bouche elle passe sa seconde main entre eux deux, dégrafe la ceinture et abaisse le pantalon de Monsieur David qui, impassible se laisse faire. Le salaud ne porte pas de slip et sa bite toute droite m'apparaît, comme un diable jaillissant de sa boite, alors qu'elle vient frapper la peau douce des fesses de Marion. A ce contact, elle sursaute. La queue est énorme et semble dure comme un bâton de bois. Marion est forcément surprise ne connaissant que la mienne qui est bien plus modeste en taille. Il lui parle doucement à l'oreille, la maintenant fermement dans ses bras. Je n'entends pas vraiment ce qu'il lui dit, mais cela lui soutire un sourire de béatitude. Elle l'aime, j'en suie sûr ! Le couple toujours de profil, il la laisse se détacher de lui et je la vois lentement se mettre à genoux pour faire face à l'organe dressé devant elle. Timidement elle s'empare d'abord de ses couilles qu'elle caresse amoureusement. Elles semblent gonflées de foutre. Ses doigts passent dessous, autour, les font danser. L'homme sait apprécier cette caresse que jusqu'à aujourd'hui n'était réservées qu'à moi, qu'à mon sexe. Marion adore sucer, me sucer ! Maintenant, petit à petit, elle prend de l'assurance dans sa caresse. Elle approche ses lèvres du gland qui sécrète déjà son liquide séminal. Elle y dépose timidement un baiser qui se voudrait chaste s'il n'était pas déposé sur la bite de son amant. Puis de la pointe de sa langue elle lape le liquide. Aucun signe de ...
... répulsion, au contraire elle semble aimer. Elle entrouvre ses lèvres et lentement, amoureusement, les yeux dans les yeux de Monsieur David elle engouffre la bite malgré sa grosseur. Elle se l'enfonce jusqu'à la garde comme jamais elle ne me l'a fait. Puis elle commence un lent va et vient accompagné d'une douce branlette du sexe. Elle s'applique comme une bonne élève qui veut faire plaisir à son maître. Son regard semble lui demander si elle fait bien. Je suis de plus en plus meurtri par ce spectacle et ces détails qui me brulent les yeux. Ma douce est en train de tailler une pipe. Ce salaud à plusieurs reprises, dégage ses cheveux qui lui couvrent le visage pour bien me montrer la bouche de ma Marion en train de lui sucer la queue. Je n'en peux plus, balancé encore excitation et jalousie. Cette fois l'intensité des images a gagné plusieurs degrés. Elle s'abandonne dans le stupre et la fornication. Ma douce femme ! Il la prend sous les bras et la fait se relever. Il la tourne vers le miroir; vers moi, la saisit aux avant- bras et la force à se pencher en avant tout en lui faisant écarter les jambes. Ainsi cambrée, elle lui offre son cul à contempler. Devant moi, ses seins pendent légèrement. Il va la prendre. Le visage de Marion est tout rouge dans l'attente de la saillie. Je devine qu'elle doit être toute mouillée et qu'il n'aura aucune difficulté à s'introduire en elle, dans son ventre, berceau de sa fécondité. Elle est prête, elle accepte l'accouplement sans hésitation. Il ...