1. Entrées


    Datte: 22/06/2020, Catégories: fhh, couleurs, inconnu, grossexe, vacances, forêt, fsoumise, soubrette, strip, préservati, Partouze / Groupe fsodo, sm, attache, baillon, yeuxbandés,

    ... Chloé a tapé dans la catégorie papy, pas mal conservés d’ailleurs. Pour eux, pas de tenue techno mais teeshirt et short. Bien sûr, ils voient Awa qui les attend mais ils viennent quand même vers moi pour me saluer et surtout me questionner. Nous avons de la chance car ils ont déjà eu des occasions de profiter d’une femme ensemble. Nous fixons quand même les limites. Pas de violence et sexes protégés. Ils se mettent à l’aise. Même pas une érection. Ils s’approchent d’Awa. Leurs mains parcourent son corps et s’attardent particulièrement sur sa croupe rebondie. Les caresses se transforment en petites claques sur les seins, le pubis, les fesses. L’un deux tombe à genoux et plonge son visage dans l’entrecuisse. L’autre maltraite la poitrine et tire sur les tétons. — La cochonne, elle est déjà toute humide. Tu aimes cela, petite dévergondée ? Ce n’est pas une vraie question, en tout cas Awa ne peut pas répondre avec son bâillon. La seule chose dont nous sommes sûrs, Chloé et moi, c’est qu’elle ne souhaite pas arrêter le jeu. Il lui suffirait de faire des « non » de la tête pour tout stopper. — Pierre, viens voir, elle a un clito énorme. Ils échangent leurs places. « Pierre » découvre la merveille. Il s’active. Je sais ce qu’il fait. Comme tout homme devant cette petite chose, il la prend entre ses lèvres et la tète comme un téton, comme le sein de la mère. Et bien sûr, Awa aime cela. Elle se tortille, se cambre et malgré la boule rouge qui bloque sa bouche, on entend des ...
    ... gémissements. Le compère a beau jeu de l’accompagner en tordant les tétons. Le gémissement augmente. — La salope, elle coule. Regarde j’en ai plein le visage. En effet, « Pierre » est maculé de mouille. — Oh, ma petite, on va te faire ta fête. Tu aimes le cul, eh bien attends, dit Pierre en se relevant. Maintenant les sexes sont raides. Ils prennent Awa en sandwich et leurs deux bites la possèdent. La femme n’est plus qu’un pantin dans leurs bras et ils la baisent en parfaite synchronisation. Cela dure une éternité et je suis en admiration devant une telle santé qui les fait monter et descendre dans le con, dans le cul, de la soumise, uniquement par la seule flexion des genoux. Décidemment nos anciens peuvent encore nous en remontrer. Celle qui ne se plaint pas, c’est Awa. Elle n’arrête pas de jouir. C’est sa fête. Pas besoin d’une grosse bite pour atteindre la jouissance. Deux normales, vigoureuses malgré l’âge, la baisent et l’enculent. Dans un synchronisme parfait, comme des jumeaux, les deux hommes s’extraient des fourreaux, arrachent les capotes et jutent sur le corps de leur soumise. — Excusez-nous, on a été un peu long au démarrage mais il faut dire que ce matin nous avons déjà célébré Éros avec notre voisine. Voilà les paroles que « Pierre » et « Paul » et, oui cela ne s’invente pas, nous disent, alors que nous libérons Awa. Le bandeau enlevé, elle découvre ses baiseurs et, plus tard nous dira que jamais elle n’aurait imaginé que des papys pouvaient satisfaire une femme comme ...