Six "sions" pour une scission. (2)
Datte: 22/06/2020,
Catégories:
Transexuels
CHAPITRE 2 : La confirmation. Je venais donc de vivre l’expérience la plus folle de ma vie. Passer d’hétéro convaincu à chienne lubrique en l’espace de quelques minutes. L’ennui dans tout cela, c’est que les jours passant, aucun regret ne se fit sentir. Au contraire. J’avais envie d’aller encore plus loin. Je découvris alors un site de prêt à porter spécialisé dans les vêtements pour travestis. J’y commandai divers sous-vêtements, un corset rouge et noir, plusieurs robes, des escarpins aux talons de 10 cm, une jolie perruque brune à frange, mais surtout un buste à faux seins en silicone, bonnet E. Au total, cette commande avoisinait tout de même les 900 euros. A leur réception, j’étais toute excitée. J’essayai tout et pris des photos avec un minuteur. Je regardais ensuite ces photos. C’est fou comme j’étais belle et sexy ! C’était certain ! Je pouvais être l’objet de fantasme que je souhaitais être. J’étais une femme, tout simplement. Ironiquement, je décidai de prendre le nom de Jessica, une fille avec qui j’avais couché et éjaculé avant même de la pénétrer. Elle avait alors raconté cela à tout le lycée, ce qui m’avait valu une fin de scolarité difficile. Quelle pute ! Désormais, la pute de Jessica, ce serait moi. Le jeudi soir, je décidai de rendre une visite surprise à mon amant qui, un mois plus tôt, m’avait libérée de mon enveloppe masculine. Selon ses dires, sa femme ne devrait pas être là. Bien sûr, hors de question de sortir de mon appartement habillée en femme, mes ...
... voisins pourraient me voir. Je rassemblai donc mes affaires dans un sac, pris ma voiture, et me garai en lisière d’une forêt pour me changer, éclairée par les phares de ma voiture. J’enfilai d’abord ma fausse poitrine en silicone. Deux poches de mousse préformées donnaient leur volume et leur structure aux seins. Cela dit, pour un effet plus réaliste au toucher, et une inertie plus commode pour qu’ils puissent mieux se balancer, je remplaçai les poches de mousse par deux ballons de baudruche que j’avais préalablement pris soin de remplir d’eau. Effet presque aussi vrai que nature ! Puis j’enfilai porte-jarretelles, bas, string, soutien-gorge, corset, et recouvrit le tout par une robe moulante rouge descendant jusqu’à mi-cuisse, agrémentée d’une ceinture noire serrée assez haut, juste sous la chute de mes seins, afin de bien dessiner à la fois ma poitrine, et ma taille rendue encore plus fine par le corset. Cette robe épousait parfaitement mes formes, mettant parfaitement en valeur mes larges hanches et mon cul de femme. De retour dans la voiture, j’ajustai enfin ma perruque brune dans mon rétroviseur, qui achevait de totalement me transformer. J’étais méconnaissable. Arrivée sur place, c’est angoissée que je parcourus la dizaine de mètres séparant ma voiture du pas de sa porte. Le claquement de mes talons que je posais encore maladroitement sur la dalle en béton me dictait un rythme encourageant. Chaque pas représentant une unité en moins au compte à rebours dont le zéro fut ...