1. Intrusion fraternelle (4)


    Datte: 22/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... mais je me retiens autant que possible. Puis les doigts m’abandonnent et je sens un gros poids abaisser le matelas. Alexej se positionne derrière mon dos, son gland pointe sur mon derrière. —Allez, demande-le-moi, me chuchote-t-il à l’oreille. — Encule-moi… Les mots sortent de ma bouche avant même que je n’aie pensé à les prononcer. Je sais que c’est dingue, mais je veux qu’il me prenne ici. J’ai beau avoir peur, l’excitation est plus forte. Je n’ose bouger d’un centimètre, prête à le recevoir. De toutes les perversités que m’a fait faire Alexej, celle-ci est la pire, et je m’y soumets sans résistance. Son gland fait pression sur mon œillet et s’y engouffre lentement, centimètre après centimètre. La douleur et le plaisir me font tressaillir. Je vais me faire limer le cul alors que Jean dort à quelques centimètres de moi ! Je mords l’oreiller pour ne pas crier ma joie, et je tends le cul. La hampe d’Alexej s’est maintenant introduite de tout son long et commence à me labourer doucement. Mon Dieu, comme c’est bon… Une de ses mains joue avec mes tétons et les pince. La dernière fois qu’il m’avait sodomisée, il y était allé franchement, répondant à un besoin bestial de me pendre ; mais aujourd’hui il s’oblige à y aller doucement, me laissant le temps de savourer chaque instant. J’ai très envie de le sentir me défoncer, mais ainsi le supplice dure plus longtemps. Et puis, il ne faut pas réveiller Jean ; je n’ose imaginer s’il ouvrait les yeux maintenant ! J’ai échappé au pire ...
    ... quand ma mère nous a surpris, mais là je n’aurais aucun moyen de recoller les morceaux. « Sois prudente ! » m’a-t-elle dit. Je ne pense pas que se faire prendre le cul alors que son mari dort à côté n’entre dans ses critères de prudence. Je risque gros sur ce coup, mais je suis incapable de m’arrêter. C’est tellement mal que c’en est bon. iheiggma Dieu, comme j’aime ce que me fait Alexej… Je voudrais que ça ne s’arrête jamais, que le plaisir continue de grimper indéfiniment. « Quand Alex prend quelque chose, il ne la lâche pas. » J’aimerais que ce soit vraiment le cas, mais je sais déjà qu’il finira une nouvelle fois par disparaître. Je suis sa chienne, sa catin, sa petite sœur salope ; comment peut-il m’abandonner encore ? — Alexej, par pitié, ne pars pas après… chuchoté-je. Je veux que tu restes près de moi. — Quoi ? fait-il, surpris. — Tu me manques trop quand tu n’es pas là. Seul toi sait me prendre comme j’aime. Par pitié, reste en France… Je ferai tout ce que tu me demanderas, je te jure. — Et ton mari ? — Tant pis pour lui ! Je continuerai à le faire cocu pour toi. Ne m’abandonne pas, j’ai trop besoin de toi. — Tu le penses vraiment ? — Oh oui ! Il semble déconcerté par ma demande, mais j’ai l’impression que l’idée lui plaît. Je m’imagine soumise encore et encore à mon frère. Cela serait si bon… Il m’a soumise par deux fois dans le passé, puis a disparu juste après, me laissant avec un vide impossible à combler. Aujourd’hui, je ne veux pas revivre ça. Je veux jouir encore ...
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