1. Point de non retour


    Datte: 25/06/2020, Catégories: fh, extracon, fsoumise, Oral lieuxpubl,

    ... ressentez…— Ces œuvres sont très figées, codifiées, mais aussi d’une grande foi naïve. L’or et les couleurs sont sources d’inspiration pour Klimt, qui s’en éloigne par la sensualité de ces modèles… Tout à ses explications, elle n’a pas prêté attention à mon approche, je suis maintenant contre elle. Je pose ma main sur sa taille et l’entraîne vers la salle suivante. Elle se laisse faire. Nous sommes maintenant devant un tableau d’un peintre du XVIIIe. Je pose mes mains sur ses hanches. — Cambre-toi… Sa jupe se rapproche de ma queue : pas de refus d’obstacle. Les fesses en arrière, les seins en avant. J’approche ma bouche de sa délicieuse oreille. — Tu devrais défaire deux boutons de ton corsage. Tout d’abord, elle ne fait rien, puis je vois ses mains se rejoindre devant et défaire un, deux, trois boutons. Je peux voir la dentelle blanche bien sage, et l’ombre ronde du haut des aréoles, le tissu tendu par le bout des seins. Mes mains posées sur ses hanches la rapprochent de mon ventre, qui s’incruste en elle dans son sillon. La nuque dégagée, je lui mordille le lobe de l’oreille droite. Je la sens frémir de plaisir. Mon sexe grossit contre ses fesses, je plaque son cul contre mon bas-ventre. Elle s’échappe vers un autre tableau, je la suis, ma main droite sur sa hanche, deux doigts sous sa jupe. Je saisis sa nuque de la main gauche et la masse. Je caresse d’un doigt son visage, le dessin de ses lèvres qu’elle entrouvre, j’y glisse mon index qu’elle accueille dans sa bouche ...
    ... chaude et humide. Je la laisse ronronner et se frotter sans cesser de lui mordiller le lobe. Et je m’éloigne à l’autre bout de la salle. Je veux qu’elle vienne vers moi, qu’elle me réclame, qu’elle ait envie, besoin… Je l’entends approcher, ses escarpins claquer sur le sol au rythme de son bassin. Je sens son souffle sur ma nuque puis ses mains sur mes hanches : ça y est, elle est mienne, je saurai l’emmener où je veux. Je me laisse aller contre elle, je sens ses seins dans mon dos. Je bouge imperceptiblement pour qu’ils frottent sur ma veste et que leurs pointes durcissent. Je lui susurre de m’embrasser. Que c’est bon, ses lèvres chaudes et humides contre ma nuque ! À son tour, elle me mordille l’oreille. Je tressaille de plaisir et je bande. Je guide sa main de ma hanche sur mon sexe. Personne ne peut nous voir. Elle est collée à moi et les autres visiteurs sont dans notre dos. J’imprime à sa main un mouvement de bas en haut et de gauche à droite, puis la laisse continuer seule son massage. — Tu sens l’effet que tu me fais ? Pour toute réponse, elle enfourne mon lobe droit dans sa bouche, et met plus d’intensité dans sa caresse. Je m’échappe à nouveau vers un recoin plus éloigné. Elle me rejoint, je me retourne, elle est à portée de lèvres. Je la saisis par la taille et la rapproche. Je l’embrasse, elle ferme les yeux. — Garde les yeux ouverts ! Je force l’entrée de sa bouche. Je la sens s’ouvrir et peux la fouiller de ma langue, je joue avec la sienne, ses dents, ses yeux gris ...