1. Point de non retour


    Datte: 25/06/2020, Catégories: fh, extracon, fsoumise, Oral lieuxpubl,

    ... moi et m’embrasse avec gourmandise, sa langue fouille ma bouche dans tous ses recoins, sa main m’astique frénétiquement la verge à travers l’étoffe. Elle a basculé dans l’abandon à ses sens, elle est à moi maintenant. Je mordille ses lèvres, en agace le dessin d’une langue agile. Les yeux mi-clos elle se laisse dériver. Je l’éloigne de la main. — Tourne sur toi-même ! …Cambre-toi ! …Relève ta jupe ! Les mains s’activent et remontant le tissu font apparaître les bas autofixants et une culotte blanche. Je m’approche et pose ma main sur son fessier, j’en éprouve la forme et la fermeté, j’en souligne les courbes et lui écarte un peu plus les jambes pour y glisser la paume de ma main en coupole sous son sexe, que je masse doucement. — Tourne-toi ! …Non garde ta jupe retroussée ! …Regarde-moi ! Je jouis de cet instant, elle docile, les yeux dans les miens, toute en soumission et en obéissance, il me faut préserver ce moment et poursuivre mon avantage. — Retire ta culotte ! …Non ! …Sans cesser de me regarder ! Elle frémit et fait glisser le long de ses jambes, le bout d’étoffe. — Donne-la moi. Je la mets dans la poche de ma veste, et m’approchant, touche de ma main son entrejambe, sans la quitter des yeux. Je lui masse doucement le sexe et laisse s’aventurer un doigt qui s’humidifie à creuser son sillon. Mon index rentre en elle maintenant parfaitement, je le porte à ma bouche et la goûte sans la quitter des yeux. — Tourne-toi ! …Cambre-toi ! Je m’agenouille entre ses jambes ...
    ... auxquelles je me retiens, et que je maintiens écartées. Je lève la tête et fouille du regard son intimité. Elle est peu poilue et blonde, des lèvres abondantes, épaisses, promettent des accouplements féconds. Je les saisis à pleine bouche et les mâchonne. Elle tremble sur ses jambes. Elle ruisselle et j’avale son suc mêlé de ma salive, je l’écarte bien des deux doigts pour lécher au plus profond, mon nez enfoui dans son sexe. Le pouce sur son bouton, et un doigt, deux doigts dans le cul, je la trais de son jus. Elle chancelle debout, moi bien arrimé à ses jambes par mes mains, et à son sexe par ma bouche. Je l’aspire, elle titube et manque tomber, foudroyée d’un orgasme qui réplique. Je la maintiens debout, et continue de la vider de son jus d’amour. Elle halète, émet de petits cris, souffle et manque tomber lorsque je croque son clitoris. Je me relève, la retourne et l’embrasse longuement, serrée contre moi, les mains sous ses fesses. Elle s’écarte, et me fixant sonde le fond de mes yeux comme pour y percer mon âme. — Viens, je te ramène. Nous sortons du musée, j’ouvre mon scooter et lui mets un casque et lui tends les gants. — Je te dépose où ?— Place Victor Hugo. J’enfourche mon scooter et lui dit de monter, elle me prend à la taille et se vautre de tous ses seins contre moi, comme une ado enamourée. Nous laissons la grande roue illuminer notre route. J’imagine la stupeur des conducteurs que nous croisons, elle la jupe largement relevée, les bas révélés. S’ils savaient que son ...