1. Point de non retour


    Datte: 25/06/2020, Catégories: fh, extracon, fsoumise, Oral lieuxpubl,

    ... bleus dans les miens, je fais le tour de sa bouche plusieurs fois. Je mordille ses lèvres, les agace de mes dents, pour les gonfler de sang. — Hum, hum ! Le gardien nous regarde d’un œil désapprobateur. Je desserre notre étreinte à regret et la guide de la main vers l’escalier. Je la laisse monter la première. J’ai l’impression qu’elle exagère à dessein le balancement de ses hanches, j’essaie de voir plus haut sous la jupe, pour deviner, bas ou collants ? — Bas ou collants ? Pour toute réponse elle remonte légèrement sa jupe, j’aperçois le renfort plus sombre du tissu et un bout de chair blanche au-dessus. Nous sommes maintenant dans les salles du haut. Je prends sa main et la glisse dans ma poche pour lui faire sentir ma queue battre. Elle bouge à peine mais assez pour augmenter l’afflux de sang. — Tu la sens ? ai-je murmuré. J’ai pourtant l’impression que la femme d’un certain âge aux habits stricts nous regarde d’un air réprobateur. Nous restons longtemps en contemplation devant la Femme aux Gants, je lui trouve quelque chose de Florence. Sa main restée dans ma poche agace doucement mon sexe à l’étroit, sans qu’elle ait l’air d’y toucher. Je n’en peux plus. À mon tour je laisse ma main errer sur ses hanches et insinuer deux doigts devant entre les boutons de son corsage. Elle tressaille. Je sens la chaleur de la peau douce de son ventre. Mes doigts continuent leur chemin plus bas, les siens s’activent un peu plus au fond de ma poche. Nous semblons immobiles, mais nos sens ...
    ... en fusion ne nous laissent aucun répit. Je pousse mon avantage et glisse un doigt sous l’élastique de sa culotte. Je la sens plus nerveuse aux mouvements saccadés de sa main. Mon index poursuit son exploration et rencontre des poils soyeux et doux. Je n’en plus, nous serions seuls je soulèverais sa jupe pour lui manger le cul. Au lieu de cela, j’approche ma bouche de sa nuque et lui mordille le cou. — J’ai envie de toi, là, maintenant, tout de suite. Sa tête dodeline, comme si elle acquiesçait. — Tout de suite maintenant. Sa main perd toute retenue et se saisit de ma verge à travers l’étoffe. Si elle continue je vais éjaculer et trahir mon état d’une auréole humide. — Va m’attendre aux toilettes. Elle ne réagit pas, je sors sa main de ma poche, la tourne vers moi, fixe ses yeux bleu acier et sa bouche entrouverte, son émoi est manifeste. — Va m’attendre aux toilettes, choisis les plus grandes, celles pour handicapés ! Elle file, et se tourne enfin, j’entends ses escarpins se hâter lentement et m’obéir. Le vieux monsieur si droit et élégant, qui tout à l’heure, nous souriait béat, me regarde à présent d’un air réprobateur : aurait-il entendu mes instructions ? Florence n’est plus en vue, je me hâte tranquillement en direction des toilettes. J’ouvre la porte, il y a une porte plus large que les autres, je la griffe de mes ongles. Elle s’entrouvre sur le beau visage de Florence, troublé de désir et d’appréhension. Je la pousse à l’intérieur et tire le verrou. Elle se jette sur ...