1. Découverte du plaisir avec ma mère (8)


    Datte: 27/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... défoncer. Je ne m’en prive pas. Voyant son anus, une envie de lui mettre deux doigts à l’intérieur m’habite. Je me lèche l’index et le majeur puis j’enfonce les deux dans son cul aisément, son anus est relâché par le désir d’être sodomisée. Aurélie augmente en volume et densité ses gémissements. Tout cela m’invite à faire plus, je me lèche l’index et le majeur de l’autre main et les enfonce de concert avec les deux autres dans l’anus dilaté de maman. Un cri de douleur ? Non c’est une lamentation de bonheur d’Aurélie. — Oui Mon bébé ! Déchire mon cul et baise-moi fort, je suis bien ! Geint-elle. Je m’active, j’adore prendre Aurélie de cette manière, je suis dans ses deux trous d’amour et de plaisirs, je savoure mes ressentis de la chatte et de son cul. Je possède maman, à cet instant je suis le maître de son corps, maman est mienne. Je l’aime à la folie. Sa chatte serre ma bite par ses contractions vaginales. Je pose mes quatre doigts sur ma bite baisant Aurélie, son point G est ainsi branlé Cela finit par faire parvenir Aurélie vers un orgasme violent. Elle se contracte, puis tremble de tout son corps, hurle des insanités incroyables, se tétanise dans un cri violent, elle jouit ! Jouit avec des orgasmes répétés, Aurélie n’est plus de ce monde. Elle nage dans sa jouissance. Son point G est ainsi branlé. Cela finit. Je sens ma bite compressée par ses muscles vaginaux en deux, trois allers retours cela m’amène à l’explosion de mon plaisir, Des jets de foutre fulgurants inondent ...
    ... sa chatte, cela redonne un orgasme à Aurélie, elle crie de nouveau comme une chatte prise par son mâle. Je m’abats sur son dos, Aurélie s’affaisse sur le canapé, on reprend notre respiration peu à peu. Une fois nos cœurs calmés, on s’affale chacun de son côté sur le canapé. — Merci Mon amour, tu es l’homme de ma vie, sans toi je vivrai plus. Toi seul sais m’amener ailleurs ainsi. Je t’aime mon bébé, murmura-t-elle. — Moi aussi, je t’aime. Et seulement avec toi, j’éprouve cette densité jouissive. Tu es la femme de ma vie et le demeureras toujours. Même, si j’aime faire l’amour avec Marie, le rayonnement entre nous deux est mille fois supérieur. — Je te partage avec Marie, mon amour, parce que Marie est ma fille et je l’aime en tant que telle. Je veux la voir heureuse en amour avec toi. Et te remercie de l’aimer comme elle le désire. — Comment allons-nous faire, pour nous aimer ainsi sans rien faire savoir à Marie lorsqu’elle sera de retour définitivement, sans briser nos vies ? — Pour l’instant je n’en sais franchement rien, mais laissons le temps nous aider pour avoir une ouverture. Sinon bonjour le malheur et la catastrophe. Nous nous levons pour nous rendre dans la salle de bains pour nous laver. Ensuite on se met au lit, nous nous endormons repus d’amour dans les bras l’un de l’autre. Le lendemain soir arrive, les 22 heures sont là, Marie fidèle au poste, Ce soir, Aurélie parle en premier avec Marie, elles sont heureuses de cette entrevue, les larmes brillent dans les yeux ...
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