1. Découverte du plaisir avec ma mère (8)


    Datte: 27/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... de l’une comme de l’autre. Elles finissent l’entretien en se donnant des baisers. Je prends le relais, comme, à l’accoutumée après avoir fait le tour de notre quotidienneté, Marie m’expose ses seins, le départ de notre moment de luxure, je lui montre ma bite en érection, elle me montre sa chatte ouverte et humide, on commence à se branler, en regardant l’autre le faire jusqu’à ce que jouissance s’ensuive. Une fois, tous les deux ayant joui, on se quitte avec regret et en se donnant de multiples baisers. Un mois passa ainsi. Aujourd’hui, j’annonce à Aurélie à 21 heures 30 que je sors faire un jogging. — Tu es fou ou quoi ? Marie va appeler, et que vais-je lui dire si tu n’es pas là ? — Ecoute, j’en ai marre de me branler tous les soirs, cela devient récurrent et mon envie s’amenuise. J’ai du mal à bander. Alors que dira Marie si elle me voit mou devant sa nudité. Tu en as une idée ? — Merde ! Excuse-moi. Ne peux-tu pas activer ton sexe en pensées érotiques pour faire bonne figure. — Tu me demandes de tricher avec Marie tous les jours ? — Oui je sais c’est idiot ! Que vais-je lui dire pour ne pas l’inquiéter, tu me mets dans un embarras une demi-heure avant notre entretien. Et en sus tu te défiles. — Débrouille-toi, je suis certain que tu trouveras quelque chose pour nous sortir de cette situation merdique. Là-dessus, je sors pour mes deux heures de jogging nocturne exceptionnel. Je suis de retour à minuit environ, Aurélie m’attend dans le salon, en voyant sa figure, je vois ...
    ... que cela ne fut pas de tout repos pour elle. Elle ne me salue pas pour mon retour. Je m’assis en sueur près d’elle. — Alors comment cela s’est passé entre toi et Marie ? — D’après toi ? Tu crois qu’elle fut enchantée de ton absence. — Je m’en doute. Qu’as-tu dit pour excuser mon absence ? — La vérité tient ! Que veux-tu que je puisse lui dire ? — Ah ! Alors que fut sa réaction ? — Horrible ! Tu t’attendais à quoi ? — Ouais, c’est certain. Tu n’as rien trouvé pour atténuer la chose. — Je vois que tu as une opinion de moi effrayante. Tu es certain que je trouverais à dire n’importe quoi pour sauver la situation. — Je sais que tu ne manques jamais de ressort pour sortir d’un embarras. — Tu ne manques pas d’air. — OK ! Dis-moi comment cela s’est passé veux-tu ? Je ferai mon mea culpa ensuite. — Eh bien ce fut simple, je lui ai dit la vérité, que tu ne pouvais plus supporter de te branler tous les soirs devant elle. Que cela t’ennuyait. — Tu penses bien qu’elle s’affola tout de suite, elle pensait que tu étais parti voir une autre fille, Je la rassurai au mieux et lui dis que tu étais parti faire un jogging. — A cette heure-ci ? Me demanda-t-elle, Je lui dis que c’était la meilleure des manières pour atténuer tes sens exacerbés. Mais que trouve-t-il de fastidieux dans nos jeux ? Alors je fus sans voix, je me suis mise à dire n’importe quoi. Il en a marre de sentir sur son sexe, il voudrait ta main à la place de la tienne, une autre main que la sienne pour se branler avec toi. Mais ...
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