1. Initiation au monde de O (1)


    Datte: 04/10/2017, Catégories: Divers,

    ... couleur mettant en lumière ses traits merveilleux, léger et subtile. Cette coiffure soigneusement orchestrée par une coiffeuse et mérite. Enfin, une robe délicieusement ouverte là où cela devait être, les chaussures grandissant sa soumission et la fierté de ma O. Parée, vêtue, je bandais ses yeux d’un foulard de soie précieuse. iygittlv Je la guidais jusqu’à la porte de cette automobile luxueuse. Notre amie nous attendait, extasiée devant ma O. O monta dans la limousine avec mon aide. Je la guidais vers notre Roissy, enfin, tout pouvait enfin commencer. Le temps du trajet, je fis ce que l’amant de O fit, point par point. Notre amie, au volant, ne loupait rien de ce qui se passait sur la banquette arrière. Devant une belle et grande maison, je laissais O aller seule se présenter. Je la savais décidée, pourtant, la peur l’habitait. La porte s’ouvrait, O disparaissait déjà. Avec notre amie, on fit le tour de cette demeure. On allait suivre la progression de ma O dans un silence religieux. O savait que je ne serais jamais très loin. Aussi, pour pas qu’elle ne découvre ma présence, je n’avais mis aucun parfum, aucune odeur. Elle fut dénudée par trois femmes, baignée, soignée et parée pour la suite. On lui banda les yeux. Notre amie me guidait dans ce petit salon où O allait être vue nue par d’autres hommes et femmes que moi. Elle arriva, majestueuse dans sa nudité. Elle resta debout quand les trois femmes se séparèrent d’elle. O était maintenant seule face à ses fantasmes. Je ...
    ... ne la quittais pas des yeux, je la voyais fière et si craintive en même temps. On me posa bien des questions sur l’éducation d’O. Je répondis sans détour. O eut même un tout petit soupir de bonheur en entendant ma voix. Un couple se lava, inspecta son corps avec le respect qui lui était dû. J’ai craint, l’espace d’un instant, qu’il ne se montre vulgaire. Il n’en fut rien. Un autre homme se leva, s’approcha sans toucher à O. O fut agenouillée sans qu’on la presse à le faire. Le silence dominait. Tout ordre n’était donné que par des appuis sur ce corps docile. Je me tenais derrière O. j’admirais sa chute de rein, sa croupe. Elle se plia devant chacun. Si on me prêta une soumise pour assouvir mes désirs charnels, O fut prise de toute part sans jamais émettre la moindre protestation. Une amie se joint à moi, se fit chatte soumise devant ma jeunesse. La nuit s’annonçait belle, jouissive. O répondait aux désirs de chacun. On la lava encore, enlevant cette masse poisseuse couvrant sa chaire. Ensuite, séchée, parfumée, elle fut conduite dans ce qu’ils appellent un donjon. Salle de supplice équipée pour punir, dresser tout soumis qui se présente dans cette maison. Elle sert aussi de salle d’éducation. Les jambes tendues, O doit se pencher en avant. Ses mains, son cou sont rapidement emprisonnés dans ce carcan devant elle. O sait qu’elle va souffrir. Elle ne sait pas que cette souffrance va l’emporter vers des plaisirs immoraux. Une main me tend un martinet. Me montre la croupe de mon ...
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