Initiation au monde de O (1)
Datte: 04/10/2017,
Catégories:
Divers,
... aimée, ma O. Je dois, devant tous la fustiger, rougir sa douce peau. On dicte le nombre de fois où les lanières de mon instrument devront s’abattre sur ce corps offert. On demande à ma O de compter chaque coup reçu. Dix, ce sera par dix fois que je marquerais ce corps. On me précise gestuellement la cible de mes coups, la croupe. J’arme, une femme, notre amie m’embrasse en retenant ma main punisseuse. Le premier coup tombe, sec, méchant sans trop l’être. Ma douce gémit et le nombre un sort de sa bouche. Les coups se succèdent, je caresse le lieu où les lanières sont venues meurtrir ces fesses. Cela semble plaire que je ne me montre pas tortionnaire, sadique pervers. Je tiens à ma O, je tiens à préserver ce corps sublime. Je ne tiens pas à lui faire des marques définitives comme un coup de fouet violent, méchant, sadique. Je fouette, certes, mais j’emmène ma douce vers un orgasme qui se développe dans son corps, grandit comme l’enfant qui grandit dans le ventre de sa mère. Dieu qu’elle est belle quand sa tête se relève brusquement après chaque coup reçu. Ses cheveux dessinent des arabesques arrondies qu’un pan en serait jaloux. Je veux qu’elle jouisse au dixième coup. Je profane son corps de mes doigts et la fouette une dernière fois. Je l’achève de ma main. Soupir court et puissant se succèdent au sortir de ses lèvres. Une caresse lui suffit pour exploser de bonheur. Je me presse devant son visage, une main féminine me prive des lèvres de ma O. on me fait comprendre que ...
... je suis encore trop...sensible devant la souffrance de ma O. Notre amie me prend à part, m’explique mon manque de distance devant le plaisir et la douleur que ressent O. Je dois me montrer plus ferme, plus distant. Son regard me fusille, sa bouche me promet des sévices plus dur si je venais à manquer à mes devoirs de dominant. Puis, ce fut dans une vaste salle à manger que je fus convié à prendre place près de celui qu’on nomme le grand Maître. Il me fit part de ses griefs, certes peu nombreux, mais dut à ma jeunesse, mon manque d’expérience. Ils s’étaient les mêmes que ceux dictés par notre amie. Il me fit part aussi de mes qualités, mêmes si certaines allaient à l’encontre de mes défauts. Là encore, ma jeunesse, mon manque d’expérience jouait en ma faveur. Six soumis entrèrent, trois femmes, trois hommes. Ils portaient tous une sorte de robe dévoilant et mettant en valeur leurs abribus de leur sexe. Ce fut une femme d’une quarantaine d’année qui servait le grand Maître et mon humble personne. O avait été désignée pour servir un couple masculin. Oui, un couple gay et alors, où est le problème que je vous vois décrire, pour certains d’entre vous comme...non, rien, je m’emporte contre ces gens qui montre du doigt ce qu’ils se refusent à admettre comme la réalité. Il n’est nulle personne sur ce site pour crier au scandale envers ce genre d’union. Pendant le repas, on peut agrémenter notre assiettes d’un désir de jouir en obligeant, commandant une faveur du soumis qui vous est ...