1. Putain assumée


    Datte: 28/06/2020, Catégories: Anal Mature,

    Je ne fus pas peu surpris de croiser un jour dans le hall mon chef deservice et sa femme. Il avait tout simplement aménager dans mon immeublesans remarquer que ce put être mon adresse. Nous plaisantâmes d’unetelle coïncidence. Mes rapports étaient des plus cordiaux avec lui.c'était au sens profond un brave homme réunissant les capacités decompétence et d'humanité. Sa femme m’impressionnait davantage. Petitebrune nerveuse et à la voix coupante, elle vous renvoyait d'emblée dansvos cordes. Elle était l'autorité faite femme.Était-elle jolie femme ? Oui d'une certaine façon mais son styleréfrigérait dirais-je et lui enlevait le charme auquel elle aurait puprétendre. Ses petits yeux clairs et sévères furetaient et semblaientfouiller jusqu'au tréfonds de votre âme. Il y avait chez elle quelquechose d'inquisiteur et de policier. Rien ne semblait pouvoir luiéchapper de vos moindres pensées. On baissait malgré soi les yeux devantelle. Ainsi fis-je la première fois. Mon chef conscient del’inconvénient m'expliqua que sa femme n'était pas si revêche qu'oncroyait. C'est sa pudeur qui la fermait ainsi.Je n'en crus rien et la suite me le confirma. C'était une tueuse, uneamazone. En effet j'eus une seconde surprise qu'elle s'était inscritedans mon club de sport où on pouvait indifféremment se muscler,entretenir sa condition et s’adonner à la danse ou autre cours de gym.Lorsque mon chef apprit cet autre coïncidence il sourit et eu ce propospresqu'amère. « Fort bien vous me rapporterez ...
    ... d’elle si elle est sage. »Ce propos me parut d'abord incongru. Je ne parvins à comprendre ce qu'ilsuggérait. Par la suite je compris que ce couple était malheureux car lafemme était volage.Cette femme d'acier de quarante ans était vêtue toujours de noir etnotamment de cuir. Elle ne dédaignait pas les bas, les courtes jupes etles escarpins. Tout cela était limité indécent. Un copain de la gym medit sans ambages qu’elle Avait des airs de pute. Elle eût vite mauvaiseréputation. Il fut confirmé qu’elle draguait les jeunes hommes. Tel leserpent elle les fascinait et subjuguait. Sur le parking dans lapénombre on eût pu voir sa crinière noire émerger sous un volant,t oùelle suçait la queue d'un type. Même qu’elle se faisait quasi au su detous besogner sur la banquette.J'en étais triste pour le patron et en même j’étais gêné quand j’étaisamené dans la salle de la gym à la croiser et à devoir un minimum luitenir conversation. Elle faisait effort d'être aimable avec moi. En mêmetemps je devinais qu’elle me trouvait niais, insignifiant. J'étaismignon garçon mais je ne disposais pas des muscles requis quil’attiraient chez les autres mâles. Le minet ce n'était pas on truc etpuis devant moi me fixant elle me dit un jour tout son mépris pour lesgenres intello. C'était curieux car cette femme était lettrée et fortbrillante.Peut-être voulait-elle se reposer de la trop grande tension qu'infligel'exercice quotidien de l'intellect. Elle trouvait dans le muscle et lebarbare un repos. Ces costauds ...
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