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Putain assumée
Datte: 28/06/2020, Catégories: Anal Mature,
... même temps d’une voix douceâtre elle ajoutait : « Sers toimon chéri. Tu as autant droit que l'autre gland de Miguel. Tu as vul'autre fois ce qu'il m'a foutu. Pourquoi n'es-tu resté ? Tu aurais pute rincer l’œil. » La pute tombait son masque.A présent j'eus sa bouche sur la mienne. Elle m’embrassait. Peu à peu jelaissais accès à sa langue qui bientôt se mélangea à la mienne. Quelquechose de brûlant s'immisçait et me tétanisait le cerveau. Telle unepieuvre elle entrait en moi. J'eus envie une dernière fois d’appeler ausecours. Elle avait maintenant mon sexe dans sa bouche. Elle me suçait.Elle poursuivait toujours de sa voix impavide : « Tu as une trop bellebite. Tu vas aimer chérie. Rien ne peut me résister ! » En effet jen'avais jamais éprouvé un pareil plaisir. Je me convertissais à unereligion.Nous restâmes ainsi dans l'obscurité une heure voués à nos caresses.Enfin je m'étais enhardi. Avec ma bouche je savourais ses seins mignonset sa fameuse chatte. Elle riait. Je crois que de ce moment-là elle metrouva en fait estimable. Moins nigaud. De nécessité elle fit loi. Elledécidait pouvoir joindre l'utile à l'agréable. Elle avait envie dedéniaiser le jeune homme que j'étais. Elle m'assurait que je labaiserais autant ...
... mieux que les autres. Dès que possible il me faudraitla recevoir dans mon lit. Un simple étage nous séparait. Elle aurait sonamant dans l'immeuble.Je devins en un tournemain son esclave. Peut-être était-il écrit dès lepremier jour qu'elle m'asservirait de la sorte. J'étais devenue un foufurieux de son corps. Les leçons furent vite apprises. Miguel eût étébien étonné de voir la rage brutale avec laquelle je la sodomisais. Soncul devint mon paradis. Je devins un autre homme. Une sorte de monstre àmes yeux. J'eus du mal à cacher aux autres ma métamorphose. Je découvrisd'un seul coup toutes les femmes en elle. Pourquoi n'avais-je auparavantgoûté à ce fruit défendu ?Elle eût cependant à se défendre de ma jalousie. J'avais mal à supporterque je ne pus seul la satisfaire. Elle était irrépressiblement attiréepar d'autres bites. Miguel notamment avait droit à la foutre des foissur les parkings. Elle ne se sentait exister que prise par nombred'hommes. A ce titre je refusais plus d’une fois de participer auxorgies dont elle « tait le centre. Enfin et peu à peu elle put meconvaincre de toucher à d’autres femmes, d'autres garces. Ainsi pus-jeme détacher d'elle lui vouant comme je vins à lui dire une éternellereconnaissance.