1. Putain assumée


    Datte: 28/06/2020, Catégories: Anal Mature,

    ... imbéciles avec leur queue constituaientpour elle cet havre de paix. Elle concevait cependant que je savais surses frasques. Bientôt cela lui parut un inconvénient voire un danger.Son apparente affabilité était pour acheter mon silence. Elle se crutdevoir aller plus loin. En effet un soir après que j'eus rejoint monvéhicule, je vis que dans celui d'à côté il y avait mouvement.En gros on forniquait sans façon. Je mis un temps à comprendre quec'était la voiture de Miguel, un bon copain black, notoire étalon. Il setapait une garce du club. Il le prenait semble-t-il en levrette. Soudainvis à vis de moi un camion s'arrêta qui inonda de la lumière de sesphares tout l'espace et là je vis à près d'un mètre de moi le visage dela femme du patron, yeux exorbités. Elle les ferma un instant puis lesrouvrit. C'est à ce moment qu’elle dut me reconnaître tandis que Miguelderrière lui ravageait manifestement son cul.Je dus demeurer un instant interdit n'ayant présence d'esprit de tournerla te^te et de rentrer dans ma voiture. Heureusement soudain le camionéteint ses phares nous restituant à la nuit. Je pris occasion dedisparaître te de fuir laissant Miguel finir tout son ouvrage. Lelendemain ce gredin vins vers moi dans la salle tout goguenard. Il avaitvu que j'avais vu. Il me dit : « T'as vu man ce que l'autre pute a prisdans son cul. » Il me dit qu’elle le chauffait depuis longtemps. Ilavait mépris en général pour les vieilles peaux mais par dépit presqueil avait décidé de lui foutre dans le ...
    ... cul.Elle par contre et pour une fois baissait la tête tâchant de fuir monregard. De toute façon j'en faisais autant. Il y a avait gêne mutuelle.Miguel par la suite et qui avait pris goût à la salope préférait lasauter au proche parking d'une usine plus loin. Il me dit qu’elle avaitaccepté qu'il la partageât même un soir avec deux autres blacks de lacité. Ce fut orgie dans le véhicule. Après maints simples et doublespénétrations elle était parvenue à vider les couilles de tous. Ils luiavaient tous gicler en rigolant leur sperme sur le visage. Jen'imaginais pas qu’elle rentra ainsi souillée jusqu'à son mari.Il est à espérer que celui-ci n'eût pas la moindre idée des turpitudesde sa femme. Je me garderais bien de les lui rapporter. Cela l'eût tué.En attendant j'étais en péril car la garce se mit dans la tête de meneutraliser irrémédiablement. Au début je ne vis point le coup venir. Mevoyant papoter avec la bande à Miguel elle était humiliée d’être l'objetde nos plaisanteries. Un an plus tard de toute façon elle eût la sagessed'émigrer dans un autre club étant grillée dans celui-ci. Un soir ellevint en bus au motif d'une panne de voiture et à ce titre elle medemanda de la ramener.Miguel toujours goguenard m’incitait à obtenir une pipe au moins à titrede dédommagement. Il savait mon invétérée timidité avec les filles. Ilme dit qu'avec celle-là je n'aurais qu'à me laisser conduire. La garceavait son regard dur et dominateur qui m’avait souvent écrasé. Jepercevais une sourde colère ...