1. Une nuit


    Datte: 29/06/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail hotel, voyage, Oral pénétratio, fdanus, totalsexe, occasion,

    La quarantaine bien tassée, on dit de moi que je suis costaud ; moi, je me trouve plutôt enrobé. Assez grand, cheveux bruns, barbu. En couple, deux enfants, une maison, un chien, un chat. Un Français moyen, quoi. Je travaille dans un service administratif d’une grande ville. Deux ans que j’y suis maintenant. Aucune aventure extraconjugale, jusqu’à maintenant. Plusieurs collègues me plaisent, mais de là à avoir une aventure… faudrait déjà que ce soit réciproque. Et puis je ne veux pas de complications. C’est que ça va plutôt bien dans mon couple, même sexuellement. Comme beaucoup d’hommes, j’ai une libido quelque peu exacerbée, une imagination un peu trop fertile et une compagne plutôt réservée. Réservée mais compréhensive : elle m’a déclaré comprendre que je puisse avoir une aventure occasionnellement ; du coup, je suis tenté… Mais bon, à part une à deux heures de fantasmes et le même nombre de branlettes par jour, rien de folichon. Et il y a quelques semaines, on me propose une formation : trois jours dans une autre ville. Cool, deux nuits loin de la famille : je vais pouvoir fumer tout mon saoul, boire un peu, et peut-être… En regardant la liste des participants, je découvre qu’une collègue, Marianne, y va aussi. Ce n’est pas celle qui me faisait le plus fantasmer jusqu’à maintenant : un peu trop maigrichonne à mon goût, 35 ans, grande, brune, petites lunettes, l’air un peu trop sérieux, voire pincé. Cela ne m’empêche pas de me masturber tous les jours en imaginant divers ...
    ... scénarios. Le jour de la formation arrive ; je ne connais personne à part Marianne qui est déjà arrivée. La journée se passe sans problème. Je suis assis à côté d’elle. J’essaie bien quelques blagues, de lui prendre une fois ou deux l’avant-bras pour lui parler au creux de l’oreille, mais Marianne garde ses distances et ne répond à aucune de mes maladroites avances. Le soir, plusieurs autres participants proposent d’aller boire un verre. À mon étonnement, ma collègue accepte d’y aller. Après un peu plus d’une heure, elle vient me voir pour me demander de la raccompagner car elle ne sent pas bien. Elle est descendue dans le même hôtel que moi, et il se trouve à 15 minutes de marche. Sur le trajet, elle semble vaciller et me propose donc de la soutenir. Elle met une main sur mon épaule et moi une sur sa hanche. Ce ne doit pas être l’alcool : elle n’a bu qu’un verre, et je ne crois pas qu’il y en ait eu dedans. Tout en discutant de tout et de rien, j’ai l’esprit obnubilé par ce corps collé contre le mien, mon poignet posé sur le haut de ses fesses, la main posée sur le tissu de son pantalon en toile. Je la serre plus fermement contre moi le temps d’ouvrir la porte de sa chambre puis l’allonge sur le lit. — Que puis-je faire d’autre ? Tu as soif ?— Non pas soif. Par contre, peux-tu m’aider à me préparer ?— Bien sûr. J’en ai les mains qui tremblent d’excitation mais je commence à déboutonner son gilet. — Tu as une tenue de nuit dans ton sac ?— Non, je dors nue. Cette fois, j’ai du ...
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