1. Une nuit


    Datte: 29/06/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail hotel, voyage, Oral pénétratio, fdanus, totalsexe, occasion,

    ... ses fesses je sens la moiteur augmenter. Elle mouille de plus en plus. Elle allonge une jambe, gardant la droite repliée, me permettant de la pénétrer plus profondément. Je ne saurais dire combien de temps cela dure. Je suis totalement envahi par mon excitation que je ne me sens pas partir et je jouis en elle. Je continue les mouvements quelque temps en ralentissant pour finalement m’arrêter. Nous restons l’un contre l’autre, haletants. Quinze minutes plus tard me voilà ragaillardi. Nous couchons ainsi plusieurs fois durant la nuit. Sans changer de position. * * * Lorsque je me réveille il fait déjà jour. Marianne dort encore, toujours dans la même position, sur le côté, une jambe repliée. Je relève le drap pour admirer son corps. La vue de son petit cul m’excite, mais après l’insouciance de la veille les questions et les doutes m’assaillent. Et peut-être une pointe de culpabilité. Dans mes fantasmes, j’imaginais avoir une aventure avec une femme mariée ayant des enfants, si possible. Bref, quelqu’un qui aurait autant à perdre que moi pour qu’il y ait moins de risques de complication. Marianne est célibataire. J’espère qu’à son âge elle ne se fera pas trop d’illusions. Bon, assez tergiversé : ce qui est fait est fait, et ça ne fera pas empirer les choses de le refaire. Je pose ma main sur sa hanche. Pas un tressaillement. Elle doit dormir profondément. La veille, tout a été tellement vite que je n’ai pas eu le temps de graver dans ma mémoire les images de son corps. ...
    ... Cette fois-ci j’y vais doucement. Elle a des petites fesses plutôt fermes. Je fais descendre un doigt du bas du dos jusqu’à son entrejambe, survolant son anus que je devine au creux de ses fesses, puis le posant à la naissance de sa chatte. L’endroit est encore humide, mais pas assez pour que je puisse l’immiscer sans forcer ou lui écarter les jambes. Pour arranger ce problème, rien de tel qu’un petit coup de langue. J’approche le visage de son petit cul, restant quelques secondes à humer, puis commence à faire courir le bout de ma langue à la naissance de ses lèvres. À quatre pattes, le nez enfoui entre des fesses, j’en profite pour me masturber. Dort-elle encore ou fait-elle semblant ? En tout cas, elle bouge légèrement. Remontant un peu plus la jambe et se tournant légèrement, elle m’offre un accès bien plus complet à sa petite chatte. J’en profite pour la parcourir tout du long avec la langue et remonter jusqu’au petit renflement qui cache son clitoris que je commence à titiller. J’adore jouer avec ce petit bout de chair. Je l’aspire entre mes lèvres, le suçote. J’ai le menton qui frotte contre le reste de sa chatte ; ma barbe est toute poisseuse. La main que je n’utilise pas pour me branler se pose sur sa hanche, glisse sur son ventre et remonte vers sa poitrine. J’empoigne un de ses petits seins ; son téton est tout dur. Dans l’état où je suis, je commence à avoir du mal à me contrôler. J’explore toute sa chatte à grands coups de langue avec de petits mouvements de tête ...