1. Une nuit


    Datte: 29/06/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail hotel, voyage, Oral pénétratio, fdanus, totalsexe, occasion,

    ... circulaires pour pouvoir aller plus profondément. Elle m’accompagne avec de petits mouvements de hanches et commence à gémir. Je la pénètre avec la langue et farfouille dans son vagin. Y’a des fois, j’aimerais bien avoir la langue plus longue. Mon nez frotte contre son clitoris. Je m’enivre de son odeur, de son humidité. Je la suce, je la bois. Par contre, je dois aussi respirer. Je me redresse, et ma main droite quitte mon sexe pour se poser sur le sien. Je la pénètre d’un seul geste avec mon majeur et commence à explorer du doigt ce que ma langue ne pouvait pas atteindre. Mon index et mon annulaire lui malaxent le clitoris, et mon pouce se pose sur son anus. Elle se cambre, permettant à mon majeur d’entrer encore plus profondément. Mon pouce commence à forcer le passage. Marianne a une petite exclamation mais me laisse faire. Si les mouvements de mon majeur se font vifs, mon pouce, lui, la pénètre doucement, de plus en plus profond. Avec mes deux doigts en elle ainsi, l’image d’une boule de bowling vient perturber quelques instants ma concentration. Marianne en profite pour s’allonger complètement sur le ventre, les deux jambes jointes. Je retire mes doigts tout poisseux et je m’installe à califourchon sur elle. Elle a vraiment un tout petit cul ; du coup, j’ai l’impression d’avoir un très gros sexe : ça a ses avantages. Je glisse d’ailleurs ce dernier entre ses fesses. L’endroit étant parfaitement lubrifié, mon gland glisse et semble trouver tout seul l’entrée de son ...
    ... vagin. Je reste un moment à regarder le bout de ma bite disparaître sous les deux petits globes de son cul puis je la pousse aussi loin que possible. Je l’attrape des deux mains par les hanches pour m’aider à aller le plus profondément possible ; elle se cambre et pousse un petit cri discret. Je commence ensuite de lents mouvements de va-et-vient, regardant mon sexe disparaître en elle puis réapparaître. Elle commence à bouger son petit cul pour m’accompagner, de plus en plus vite. Mes mains quittent ses hanches. Je m’allonge un peu plus sur elle et les pose à côté de ses épaules. Mes coups de reins se font plus amples. Elle commence par suivre le mouvement puis s’aplatit sur le lit. Mon pubis cogne contre ses fesses, mes couilles font de même sur le haut de ses jambes. Son visage est enfoui dans l’oreiller et s’y enfonce un peu plus à chaque coup de boutoir. Je l’entends qui gémit. Pas moyen de savoir où elle en est au point de vue plaisir. N’y tenant plus, mes mouvements se font moins réguliers et je pars en elle. Encore haletant, je la vois qui redresse la tête, regarde l’heure et me crie : — La vache, t’as vu l’heure ? Vite, rhabille-toi ! Moins d’une minute plus tard je me retrouve devant sa porte, la barbe encore dégoulinante de son jus, et j’ai juste droit à un « On en rediscute plus tard. Un autre jour. » En retournant à ma chambre, je repense à ce qu’il vient de se passer. J’ai un peu l’impression d’avoir été utilisé comme un sextoy modèle autonome. Je l’ai prise à chaque ...