Pause-café
Datte: 30/06/2020,
Catégories:
h,
fh,
Collègues / Travail
Masturbation
Oral
fdanus,
fsodo,
— Tu veux du café ? Comme tous les jours, vers dix heures, il la voyait à la pause-café. Par cette chaude journée de juin, elle était vêtue d’une jupe légère et d’un chemisier. Le contre-jour laissait deviner ses dessous. Rien de bien extraordinaire. Une petite culotte blanche bien sage et un soutien-gorge assorti soutenant une poitrine généreuse. Il avait toujours fantasmé sur les poitrines fortes, pas les poitrines hyper développées comme il voyait dans ses magazines pour hommes. Non, une poitrine bien ferme avec des tétons fièrement dressés sous l’excitation. Ce soir, seul dans son lit, il repenserait à l’image de sa collègue dans la lumière. Et il se masturberait comme il le faisait presque tous les soirs. Il avait toujours adoré ça, même quand il vivait en couple. Mais maintenant qu’il était à nouveau célibataire, ses activités solitaires étaient devenues quotidiennes. Dans sa tête, il se jouait une histoire excitante et ce soir, ce serait elle qui serait au centre de ses pensées. Il reverrait cette poitrine et s’imaginerait en train de saisir ces deux globes. Sous l’effet de ses caresses, les tétons de la fille se gonfleraient et se dresseraient. Alors, il les mordillerait, les aspirerait, les sucerait. Sa main droite glisserait le long de son corps tant désiré. En approchant de son entrejambe, il la sentirait frémir, mais il continuerait à s’aventurer plus loin. D’abord, du revers de ses doigts, il peignerait doucement sa toison. À quoi ressemblait-elle ? Etait-elle ...
... bien rasée ou alors bien fournie et naturelle ? Ses doigts se feraient plus hardis, s’immisçant dans l’intimité humide de son sexe. Bientôt, un doigt s’enfoncerait sans difficulté dans son vagin et elle gémirait discrètement sous l’effet du va-et-vient de plus en plus rapide. Ce soir, tout en branlant solitairement son pénis, il continuerait à lui faire l’amour en pensée. Il la lècherait avec vigueur car il aimait par dessus tout cette odeur forte de chatte excitée qu’il humait profondément, tout en recueillant avec sa langue tous les jus amers que la fille ne pouvait retenir. Son excitation serait telle qu’il accélèrerait le mouvement de sa main sur son pénis et peu de temps après, il éjaculerait sur son propre ventre. Mi-satisfait, mi-frustré, il se laisserait alors envahir par le sommeil. Pour l’instant, elle était là, sagement assise, buvant son café, discutant de son travail avec ses collègues. Jamais elle ne pourrait savoir ce que son corps pouvait créer comme images et comme fantasmes. Jamais elle n’aurait pu imaginer que cet homme si discret, si réservé la faisait jouir dans ses rêves le soir. Il s’en voulait de ne pas oser lui parler plus intimement, l’inviter au restaurant ou au cinéma, mais il avait trop peur d’un refus, d’un rire moqueur. Il aurait voulu qu’elle lui envoie un signe, qu’elle fasse le premier pas. Mais visiblement, ce n’était pas ce genre de fille. Aussi, leurs relations restaient éternellement amicales ou professionnelles. Et pourtant ! Comme son ...