1. Pause-café


    Datte: 30/06/2020, Catégories: h, fh, Collègues / Travail Masturbation Oral fdanus, fsodo,

    ... regarder, de peur de tout gâcher, de peur de la voir se lever, s’excuser et partir. Mais, elle ne s’était pas levée. Sans un mot, la respiration imperceptiblement plus rapide, il lui caressa – lui effleura devrait-on dire - le bras. Il voyait à travers sa fine robe d’été, sa lourde poitrine se levait et se baissait en cadence. Il pouvait presque sentir le cœur de la fille battre de plus en plus fort. Comme il l’avait tant de fois rêvé, sa main vint masser à travers le tissu ses deux seins. À ce moment, il aurait voulu qu’elle fasse montre de plus d’audace, qu’elle le caresse également. Non pas pour augmenter son excitation, mais plutôt pour lui donner un signe d’approbation. Mais elle ne fit rien, se contentant de le laisser faire dans un silence d’acquiescement. Petit à petit, la main du garçon se fit plus pressante. Elle dégrafa deux boutons de la robe et se glissa entre le soutien-gorge et le peau frémissante de la fille. Maladroitement, son autre main parvint à détacher le soutien-gorge. Maintenant , il pouvait à sa guise malaxait, embrassait, goûtait ces deux sphères tant convoitées. L’odeur qui s’en échappait ne faisait qu’augmenter son désir. Ce mélange de parfum léger et de transpiration due à une journée d’été lui laissait présager d’autres odeurs plus fortes et plus enivrantes aussi. Abandonnant un instant les seins, sa main descendit. Tout doucement, comme si elle attendait la permission. Avant que la main ne touche la petite culotte blanche, il sentit le fille se ...
    ... crisper et resserrer les cuisses. Etait-il allé trop vite ? Il arrêta son mouvement et attendit que la fille se laisse aller et écarte à nouveau légèrement les cuisses, comme pour lui dire : « Vas-y, continue, cette fois, je suis prête. » La limite était maintenant franchie. Il savait qu’elle ne pourrait plus reculer. Il reprit son mouvement de la main et vint caresser son pubis à travers le tissu, puis ses doigts se glissèrent sous l’élastique de la culotte. La toison que dans ses rêves il avait imaginé de différentes façons se révélait être bien taillée sur le mont de Vénus et rasée à l’entrée du vagin. Mais ce qui le rassura – car il avait encore besoin d’être rassuré – c’était que son entrejambe était déjà humide de plaisir. Cette sensation provoqua chez lui une très forte érection et un très grand désir d’être touché intimement par la fille. Mais elle n’avait pas l’air prête à agir et il se concentra donc sur les caresses qu’il lui prodiguait entre les cuisses. Il l’entendait haleter, doucement comme si elle n’osait passe livrer. Il excitait son clitoris par des mouvements lents et circulaires, mouvements qu’il interrompait quelquefois pour pénétrer dans sa caverne intime, chaude et détrempée. Tout à coup, il vit le corps de la fille se crisper, son visage grimacer et il sentit couler sur ses doigts un liquide chaud et abondant. Il eut alors envie de renifler ce sexe qui venait de connaître un moment de plaisir. Après avoir fait glissé la culotte le long de ses jambes, ...
«1234...»