Pause-café
Datte: 30/06/2020,
Catégories:
h,
fh,
Collègues / Travail
Masturbation
Oral
fdanus,
fsodo,
... puis plus vigoureusement à mesure que la pression de son pouce se faisait plus forte. Quand il entra en elle avec son doigt, elle arrêta de se branler, comme pour mieux profiter de ces nouvelles sensations. Lui, sa queue bandée et immobile au fond de son vagin, se concentrait sur le cul de la fille. Son pouce s’enfonçait maintenant sans difficulté jusqu’au bout. La cadence des va-et-vient s’accéléra, et il sentait le petit trou se dilater de plus en plus pour se faire plus accueillant. C’est alors que la fille, s’emparant à pleine main de sa bite, la fit sortir de sa chatte pour aller chatouiller l’endroit où, un instant auparavant, le pouce s’activait. Le garçon en fut soulagé, car jamais il n’aurait osé de lui-même tenter une chose pareille. Alors que jusque là elle avait réussi à contenir ses gémissements, elle se laissa aller tandis qu’il faisait entrer et sortir sa queue de plus en plus vite. Elle recommença à se branler, n’hésitant pas à faire glisser deux ou trois doigts dans son vagin. Elle arrivait même à sentir du bout de ses doigts cette queue qui lui faisait perdre la tête. Quand il sentit qu’il allait jouir, il se retira pour voir son sperme gicler entre les fesses de la fille et autour de son trou dilaté. Comme il l’avait fait auparavant sur sa poitrine, il étala le sperme avec sa queue tout le long de la raie des fesses. Puis, comme pour la remercier de lui avoir fait vivre ses fantasmes, il déposa un doux baiser sur ...
... ses fesses et commença à nettoyer avec sa langue son intimité souillée. Le goût et l’odeur du sperme mêlé aux sécrétions féminines lui procura un ultime plaisir avant la séparation qui devenait maintenant inévitable. Ce soir-là, seul dans son lit, il repensa à tout ça. Elle l’avait quitté presque sans rien dire. Elle s’était rhabillée évitant de le regarder, juste un petit sourire quand furtivement leurs regards se croisaient. Lui non plus n’avait pas essayé de la retenir plus longtemps, il l’avait simplement observée en train de remettre ses affaires. Une dernière fois, il avait vu son sexe encore humide et ses seins lourds avant qu’elle ne reboutonne sa robe –elle n’avait pas pris la peine de remettre ses sous-vêtements. — Il faut que j’y aille, avait-elle dit sans plus d’explications. Et elle était sortie. — Alors, il a avancé ton rapport ? avait demandé son collègue à la pause-café du lundi matin.— Oui, avait-il menti. C’est alors qu’elle était arrivée, en retard comme d’habitude. Elle dit bonjour à tout le monde, même à lui. Rien dans son attitude ne laissait imaginer qu’il s’était passé quelque chose entre eux. Peut-être avait-il encore une fois rêvé. Pourtant, cela semblait si réel. — Je suis trop en retard dans mon travail, avait-elle annoncé. Je crois qu’il faudra que je vienne travailler ce week-end. Le sourire en coin qu’il aperçut sur ses lèvres lui firent penser que lui aussi il devrait revenir travailler le week-end.