1. Le docteur Robert Shank


    Datte: 05/10/2017, Catégories: ffh, frousses, nympho, Voyeur / Exhib / Nudisme humour, sf,

    ... encore une fois en mes deux parfaites jumelles rousses. Elles me regardèrent en passant leurs langues sur leurs lèvres. Elles apprenaient vite ! Mais là, j’avais vraiment pas, mais pas du tout envie de baiser. Elles durent le sentir car l’une des Juliette eut alors la merveilleuse idée de se changer soudain en… Gufti Shank ! Un parfait clone de moi-même ! Je me sentis encore plus mal à l’aise et résolus de m’asseoir sur la chaise que j’avais apportée près de la porte, m’observant moi-même dévorer le minou de la seconde Juliette qui s’était allongée sur la table. La porte s’ouvrit soudain et le docteur entra en poussant un cri de stupéfaction et de désapprobation lorsqu’il aperçut la scène. Sans me remarquer sur ma chaise, derrière la porte, il se précipita près du couple en criant : — Oh, ces humains ! Et en une demi-seconde, il sortit d’une poche un revolver, le braqua sur le dos de mon clone, qui continuait tranquillement de brouter l’autre extra-terrestre qui se tortillait de plaisir, et sans la moindre sommation, tira trois balles sans sourciller. Le corps de mon clone se désagrégea immédiatement en ces milliards de petites particules tourbillonnantes que je connaissais désormais bien, mais qui laissèrent pantois le docteur. Je profitai de son égarement passager pour me précipiter sur lui en attrapant la chaise d’une main. — Est-ce une agression ? demanda bravement Juliette, les jambes toujours écartées, tandis que le docteur tournait la tête à droite et à gauche, ...
    ... cherchant visiblement ce qui clochait. Mais avant qu’il pût faire quoi que ce soit d’autre, je lui assenai un grand coup de la chaise dans le haut du dos. Il s’effondra et lâcha son arme qui valdingua sous la table. Il brailla en comprenant ce qui lui arrivait et tenta de se précipiter à quatre pattes vers son revolver. Mais je fus encore le plus rapide et lui envoyai un énorme coup de pied dans les côtes, qui le fit se recroqueviller et s’immobiliser. Je l’attrapai par son veston et le redressai devant moi, tandis qu’à côté de nous, entre les cuisses écartées de Juliette qui nous observait avec incompréhension, se recollaient rapidement les grains de lumière virevoltants, reformant mon corps. — Pourquoi avez-vous essayé de me tuer ? hurlai-je au psychiatre en le secouant.— Je dois… je dois vous éliminer ! Vous n’auriez jamais dû savoir… Vous risquez de renverser l’équilibre cosmique !— N’importe quoi ! Trouvez rapidement une meilleure explication ! L’autre Gufti Shank jugea bon d’intervenir, conseillant intelligemment au toubib : — Vous ne devez pas éliminer Gufti Shank, il est notre pourvoyeur d’orgasmes.— Bien parlé ! assuré-je. À nouveau, la voix du docteur Robert Shank me parvint à l’intérieur de mon crâne : — Vous ferez de moi ce que vous voudrez, mais laissez-moi d’abord vous expliquer ! me télépatha-t-il en implorant.— Vous auriez dû commencer par là ! répondis-je en hurlant.— Qu’y a-t-il ? me demanda Raoul, ou Berthe, j’en savais plus rien, enfin celui qui s’était déguisé ...
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