1. Ma déchéance.


    Datte: 06/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... dans un placard à balai ? Quelqu’un de très intime… Murielle peut-être ? A l’idée que sa soeur est au courant je me sens affreusement humilié… Murielle ne m’a jamais beaucoup aimé, je ne sais pas pourquoi, ou plutôt si : elle doit me trouver dragueur, la main un peu baladeuse… Et je dois reconnaitre qu’elle a raison. Mais qui aurait pu résister ? Murielle est une très belle fille. Pas autant que Julia peut-être mais beaucoup plus sexy dans sa manière de s’habiller. Elle porte couramment des jupes courtes, petits hauts ajustés à sa volumineuse poitrine, des talons hauts…Tout ce que j’aime ! Alors j’ai succombé… comme d’habitude… Mon « dérapage »-le tout premier- était intervenu à l’occasion d’un réveillon du jour de l’An au début de ma liaison avec Julia. Je voyais Murielle pour la première fois… Belle, souriante, sensuelle, féminine… Tout de suite, j’étais tombé sous son charme ravageur ! Je la revois encore… Elle portait une robe fourreau bleue largement fendue sur les côtés et échancrée dans le dos jusqu’à la naissance des fesses ! Comme si cela ne suffisait pas, le tissu fin et légèrement transparent, ne cachait rien de ses formes voluptueuses, en particulier ses seins dont on devinait les tétons dressés. Cette robe était un véritable appel au viol ! Tous les mecs sans exception la dévorait des yeux mais cette garce paraissait ne pas se douter du désir qu’elle nous inspirait... Elle ondulait à travers la pièce sur les talons vertigineux de ses sandales, découvrant à ...
    ... chaque pas ses jambes interminables gainées de bas noirs. Nos regards s’étaient croisés à plusieurs reprises, elle m’avait souri et je m’étais pris à rêver qu’elle ait pu me remarquer parmi la quinzaine de ses admirateurs, voire qu’elle ne soit pas insensible à mon charme. J’étais beau garçon, les traits fins, pas très musclé certes mais plutôt bien proportionné. Je m’habillais décontracté, genre « artiste », cheveux blonds mi- longs, chemise blanche au col largement ouvert, pantalon large en toile écrue… Un style qui avait plu à sa sœur Julia quelques temps plus tôt à Montmartre où je vivotais tant bien que mal, comme artiste peintre. Ce soir- là, j’avais brossé son portrait au fusain sous l’œil peu intéressé de son compagnon de l’époque, un type plus âgé qu’elle qui n’avait cessé de parler au téléphone. Pendant les quinze minutes qu’avaient duré mon travail le regard de Julia clair et ironique était resté plongé dans le mien comme pour me lancer un défi. Troublé, j’avais inscrit sans y croire mon numéro de téléphone sous ma signature, ce qui n’avait pas échappé à ma belle cliente d’un soir. Une semaine plus tard, alors que j’avais abandonné tout espoir de la revoir, elle m’avait téléphoné… Un mois plus tard, n’osant croire à ma chance, je m’installais dans son luxueux appartement de Neuilly, fou amoureux d’elle comme elle paraissait l’être de moi… J’aimais Julia à la folie mais ce fameux soir du mariage, je n’avais d’yeux que pour sa sœur Murielle, son petit cul cambré et sa ...
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