Julien et le monde des femmes
Datte: 06/07/2020,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
sales,
douche,
hsoumis,
fdomine,
contrainte,
Masturbation
nopéné,
nonéro,
humour,
sf,
... veux dire que t’as VRAIMENT eu l’impression qu’Angélique voulait te violer, là ? Autant je peux comprendre pour la loubarde qui t’a agressé en pleine rue, autant là je trouve que tu pousses un peu !— Si tu veux parler de l’intensité de l’agression et de son intentionnalité, il n’y a pas commune mesure, je suis d’accord. Angélique n’était pas physiquement menaçante, et dans son état d’ivresse elle ne réalisait probablement pas qu’elle poussait trop loin le bouchon, si on peut dire…— Ben tu vois, j’ai raison !— Attends, j’ai pas fini. Si on parle de mon ressenti – et tu m’accorderas que c’est quand même ce qui est primordial pour moi – eh ben j’étais aussi mal à l’aise dans les deux cas. La craignos du bar m’aurait sûrement fait ma fête, si la situation avait dégénéré… mais la relation sexuelle que tentait de m’imposer Angélique, dans la douche, elle était tout à fait concrète !— Oui, mais…— Mais QUOI, Louise ? Je l’ai juste stoppée avant qu’elle n’aille trop loin ; je suis pas non plus allé chez les fliques porter plainte ! Qu’est-ce que ça peut te foutre, qu’on n’ait pas baisé, si moi je te dis que j’ai ressenti son geste comme une putain de tentative de viol ? Louise plante ses coudes sur la table du bistrot et enfouis son visage dans ses mains. Non ! Elle va pas, en plus, se la jouer diva vexée ? J’y crois pas ! — Je m’excuse, Julien, finit-elle par dire de sa voix de petite fille. Un ton qui détonne fortement avec ses manières habituelles, et surtout sa grande carcasse de ...
... presque deux mètres de haut. Elle relève la tête, et je vois que ses yeux sont rougis. — C’est bon, t’inquiète, Louise, on va pas se fâcher pour ça, je lui lance en me forçant à sourire, même si je suis loin d’en avoir envie.— Je crois que si j’insistais autant pour minimiser ce que t’as dis, c’est peut-être parce que ça me parle un peu trop, justement… C’est à notre tour, à Patrice et moi, de la regarder avec la plus grande des surprises. — Quand j’étais plus jeune, j’étais assez… fougueuse, comme tu sais. Et bien plus égoïste qu’aujourd’hui. Bref, à cette époque, je m’en foutais carrément de savoir comment le mec vivait la relation, pourvu que moi j’aie mon plaisir. Ce qu’Angélique t’a fait… et ben, j’ai fait dix fois pire, sans même l’excuse d’être bourrée ! J’ai un moment de blanc, et puis soudain je comprends pourquoi Louise tenait tant à nier ce que j’ai ressenti sous la douche avec Angélique. Elle éprouve une terrifiante culpabilité ! — Et tes partenaires, comment ils réagissaient ?— C’était pas vraiment ça dont je me souciais, tu vois. Comme je me lassais vite, je changeais souvent. Aussitôt dragué, aussitôt baisé, aussitôt jeté. Ce qui m’intéressait surtout, chez un mec, c’était qu’il soit soumis… et qu’il bande bien. Tant pis pour lui s’il n’avait pas envie de baiser au moment où moi je voulais. Je trouvais toujours un moyen pour me le faire. Même si pour ça je devais d’abord le branler de force…— Quand tu leur imposais d’avoir un rapport avec toi, tu ne réalisais ...