Au service de Madame
Datte: 06/07/2020,
Catégories:
ffh,
fplusag,
jeunes,
poilu(e)s,
douche,
hsoumis,
soubrette,
odeurs,
intermast,
Oral
fgode,
init,
... l’office à la préparation du petit déjeuner. Gaston l’avait pris depuis longtemps, réveillé qu’il était depuis six heures, et allait « casser la croûte » plus tard. La gouvernante finissait de compléter le plateau que le jeune homme allait devoir monter à sa patronne. Marinette lui passa les dernières consignes de disponibilité et d’égards qu’il convenait d’avoir à la moindre demande de Madame. — As-tu changé ton caleçon ? T’as pensé à nettoyer ton oiseau et tes fesses ? demanda-t-elle, sachant le prétexte que Madame prenait pour faire venir à son lit le jeune serviteur. Elle en avait d’ailleurs discuté, en toute complicité, la veille au soir au moment du service du repas quand Marinette rapporta les « bienfaits du bain ». Gaston s’empara du plateau et monta au deuxième où se situait la chambre. Il toqua discrètement comme lui avait recommandé la bonne et entra dans la chambre encore dans la pénombre. Il posa le plateau sur la coiffeuse et s’en alla tirer les rideaux. Madame bailla bruyamment et dit : — Ah ! Gaston, c’est vrai que c’est toi qui me réveilles ce matin. J’ai merveilleusement bien dormi. Et toi, es-tu en forme ? demanda-t-elle au garçon pour le détendre. Tu sais, Marinette m’a tout raconté pour hier.— Oui, Madame, répondit-il timidement, sachant le rôle qu’il allait devoir tenir.— Tiens, viens t’asseoir au bord du lit que je te voie de plus près, viens me montrer ton joli torse. À peine assis, elle lui tira sa liquette et le mit torse nu. — Oh, mais ...
... Marinette n’a pas menti, ça m’a l’air tout à fait bien fait tout ça, dit-elle, descendant la main sur ses cuisses et remontant à l’entrejambe. Dis donc, t’as un beau paquet ! Enlève-moi ça tout de suite… Gaston se retrouva nu comme un ver, une fois de plus intimidé par cette femme très directe. — Mets-toi debout que je voie comme tu es beau, que je regarde bien ta queue. C’est vrai, j’ai jamais vu un gland pareil. Marinette avait raison ! Allez, approche-toi. S’asseyant au bord du lit en nuisette et en culotte, elle le fit venir à elle et, lui caressant le ventre d’une main, elle lui remonta la bite de l’autre en décalottant le gland rosé avec dextérité. Elle porta la verge à sa bouche et lutina le tour du méat de ses lèvres arrondies. Puis elle sortit la langue pour le lécher le long de la hampe qui commençait à s’allonger. Le gland fut de nouveau aspiré dans la bouche qu’elle avait ouverte bien plus grande pour accueillir l’extrémité massive. Envahi de bien-être, Gaston, sentant son membre se durcir, s’enhardit à lui caresser un sein. Séverine avait conservé une petite poitrine de "garçonne", un peu pendante comme avant-guerre. Les aréoles étaient d’un rose foncé, moyennement larges ; elles mettaient bien en valeur des tétons turgescents que l’excitation suffisait à faire grossir et s’allonger. Madame était très sensible au tripotage maladroit auquel s’adonnait Gaston, sa poitrine commençait à se durcir sous les caresses et cela lui provoquait du plaisir. Par contre, ses fesses ...