1. Au service de Madame


    Datte: 06/07/2020, Catégories: ffh, fplusag, jeunes, poilu(e)s, douche, hsoumis, soubrette, odeurs, intermast, Oral fgode, init,

    ... en pointe sur mon clito ! oh, quel cochon tu fais ! oh tu me fais du bien ! ça, c’est bon ! lèche-moi le petit trou aussi… Gaston s’exécutait allègrement, sentant sa patronne défaillir alors qu’il lutinait la rosette d’une langue épanouie mais hésitante. Marinette jouit dans un orgasme spasmodique. Gaston dut se préserver en mettant ses mains sur l’ouverture des fesses avec les bras entre les cuisses, car Madame de la Futaie venait de se mettre à genoux, cuisses serrées et tremblantes de spasmes nerveux, témoignant du plaisir qui envahissait son bas-ventre. Son bassin retrouva un rythme plus modéré tandis que Gaston le léchait désormais lentement. — Ah, mon joli Gaston ! Tu sais que tu m’as donné beaucoup de plaisir ! il y a longtemps que je n’avais ressenti ça ! dit-elle, soupirant pour récupérer son souffle, maintenant il faut que je te rende ton plaisir, affirma-t-elle sur un ton décidé… mais avant il faut que j’appelle Marinette. Peux-tu appuyer sur la sonnette qui est là, dit-elle en montrant une poire électrique. Gaston était perplexe : qu’allait-il encore se passer ? Il était encore nu, allongé sur le lit, la verge en demi-érection, et bientôt allait apparaître une deuxième femme, celle qui l’avait déjà entraîné dans le sexe. Il s’était fait une raison : celle du plaisir qu’il avait eu au contact de ces femmes, et de son pouvoir naissant de les pousser jusqu’à la jouissance. Il entendit Marinette monter l’escalier. Madame l’avait laissé seul un instant pour passer ...
    ... dans son cabinet de toilette se rafraîchir et remettre sa nuisette. Elle revint dans l’instant. Gaston put détailler tout à loisir comme Séverine était plantureuse : plutôt grande, toute en fesses avec des petits seins pointus. Il prit d’ailleurs son sexe en main car la vision de cette patronne callipyge sollicitait de nouveau son désir. La bonne toqua discrètement et entra dans la chambre. — Vous avez besoin de moi, Madame ? dit-elle, sibylline, sachant très bien pourquoi la maîtresse des lieux l’appelait.— Oui, Marinette, notre jeune Gaston vient de me faire jouir comme il y a longtemps ; j’aimerais que nous le récompensions en lui montrant ce que nous aimons faire… répondit Séverine en s’approchant de la bonne pour l’étreindre, regarde comme il en a envie. Gaston bandait de nouveau très dur. Et la patronne annonça : — C’est ça, bande comme il faut, mon mignon, tiens, viens t’asseoir dans le fauteuil, tu vas regarder comment je m’occupe de cette belle Marinette. Toi, va te mettre à quatre pattes sur le lit qu’il voie bien ta belle chatte pendant que je la caresse, lui ordonna-t-elle. Madame de la Futaie donnait ses ordres et tous obéissaient, comme à l’habitude d’ailleurs. La bonne se déshabilla rapidement et vint se présenter dans la position requise : la croupe relevée, les jambes légèrement écartées, offrant ostensiblement la vue de ses fesses écartées à Gaston. La chatte lui apparaissait comme un gros abricot couvert de poils s’étalant largement sur son bas-ventre, et qui ...
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