Sortie "apéritive"
Datte: 09/07/2020,
Catégories:
fh,
couple,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Hélène et moi sommes amants depuis peu mais comme si nous l’étions depuis toujours. Notre complicité est totale, tant dans les désirs, les pratiques que la fréquence. Nous nous voyons deux ou trois fois par semaine : rendez-vous chez elle ou au restaurant. Notre premier plaisir étant de passer quelques moments ensemble dans le monde, pour un bon diner, devant un verre ou bien sur une piste de danse. Ce soir-là je passais la prendre chez elle, vers dix-neuf heures et comme elle n’était pas prête, elle m’invita à prendre une bière dans le frigo, le temps pour elle de prendre une douche. Elle s’éclipsa, tandis que je m’installais dans sa cuisine. Quelque minutes après et ayant entendu l’arrêt de l’eau, je ne puis résister à l’envie de la mater s’essuyer. Elle était là, nue devant sa glace, encore recouverte de fines goutelettes. Ouh qu’elle était belle! A quarante ans, elle conservait sa silhouette mince, sa carrure sportive, son teint légèrement hallé. Hélène prenait soin de son corps : sport et alimentation équilibréé, une visite mensuelle chez le coiffeur et bimensuelle chez l’esthéticienne. Comme j’avais envie de la prendre dans mes bras, je me mis à la porte de la salle de bain, prétextant que, parti comme ça, nous n’allions pas pouvoir profiter de cette belle soirée d’automne. Je retournais donc dans mon coin siroter ma bière. Encore quelques minutes, peu nombreuses mais interminables et j’entendais les portes de sa penderie, les tiroirs de sa commode. Puis ce fut à son ...
... tour à elle de me réclamer afin que je la rejoigne. Elle voulait mon avis ou peut-être simplement revoir comment je m’étais habillé afin d’être la mieux assortie possible. Je rentrais dans sa chambre, elle était toujours nue, de dos avec ses jolies fesses attirantes. Alors qu’elle me suggérait tel fourreau noir ou cet ensemble tailleur écarlate, je maintenais mes mains au fond de mes poches. Je ne sais même pas si je lui ai répondu, alors qu’elle rangeait déjà le fourreau et extirpait une boite de Dim-Up de la commode et un soutien-gorge, pas de culotte. Hélène n’en portait que rarement, uniquement sous ses pantalons et encore, seulement des strings. Le soutien-gorge, lui, n’était pas nécessaire tant ses seins étaient fermes et bien accrochés, juste là pour amplifier leurs volumes et les mettre en valeur. Là, je réussis à m’exprimer, lui disant qu’en tailleur les bas nylon feraient plus chics que les up. Je l’embêtais et me reposta une nouvelle fois debout. Enfin pour pas trop longtemps, car j’eus à peine le temps de finir que là voilà, fin prête, coiffée, maquillée et sapée comme une star. Déjà, j’avais une furieuse envie de tout lui arracher et de la trousser là, comme ça, la retournant contre la table ou le lave-vaisselle. Je bandais comme un âne et elle me fis remarquer que non seulement je déformais mon pantalon mais que je le mouillais aussi. Enfin nous voilà partis, je descendis rapidement devant elle pour arriver à ma limousine et pour lui tenir la portière en bon ...