Sortie "apéritive" - Histoires de Sexe

Sortie "apéritive"

... gentleman que je suis. Je dis gentleman mais je pourrais tout autant dire coquin, car cet instant privilégié permet aussi de se rincer l’oeil quand votre compagne porte de si courtes jupes. À peine débandé qu’à la vue de la lisière de ses bas anthracites et des attaches du même ton, ma queue reprit son essor. Je pris le volant, nous prîmes la route. Hélène me demanda où je l’emmenais et je lui dis qu’il s’agissait d’une brasserie que nous connaissions bien, un de ces restaurants où elle a ensorcellé les serveurs mais où moi aussi j’ai obtenu les faveurs de deux des serveuses. Au feu rouge, j’ai profité de ce moment pour lui demander si elle portait un string tout en la retroussant dans le même temps. J’eus bien confirmation qu’elle avait mis des "vrais" bas et lui fit un tendre bisou sur la bouche en lui disant merci. Je laissais ma main en haut de ses cuisses entre les bas et son abricot tout lisse (ah ces voitures automatiques, quel pied!). Nous continuâmes notre chemin ainsi mais à l’approche d’un groupe de jeunes hommes il me vint soudain une idée : la sachant exhibitionniste, je lui demandais de les questionner pour qu’ils nous indiquent la route. J’enlevais ma main, Hélène sans se réajuster ne se démonta pas, descendis sa vitre et les interpella : — Messieurs, s’il vous plait… Vu leur tenues, il s’agissait d’un groupe de supporters se rendant au stade, déjà excités, deux d’entre eux vinrent s’accouder à la portière. Je crois que cela leur a bien plu car ils n’ont cessé ...

... de reprendre leurs explications voir de se corriger l’un l’autre afin de faire durer l’entretien. Nous avons redémarré dans un concert de cris et de cornes de brume. Je glissais de nouveau mes doigts pour le plaisir du nylon, sa douceur. Je ne fus pas surpris non plus de trouver une petite chatte toute mouillée. Je riais tout en la traitant : — Alors ma cochonne, on ne peut pas s’empêcher d’allumer tous les mâles que nous rencontrons… Et elle de me répondre: — Tu n’es bien que le cochon qui va avec, je suis sur que tu bandes mon salaud Et elle de porter la main sur mon sexe pour vérifier d’elle-même l’exactitude de ses propos. Arrivés au restaurant nous fûmes accueillis telles des célébrités, un peu génés, bien sûr, mais aussi très flattés des attentions du chef de salle. Ainsi, on nous dirigea vers notre table habituelle, au milieu de la petite estrade en fond de salle où nous voyons tout le monde et où tout le monde nous voit. Hélène prit place et je vins occuper le côté adjacent de la table, position que nous affectionons, que ce soit pour parler, se faire un bisou ou se caresser par dessous, tout en contrôlant les regards alentours. Rapidement, Julie, une adorable petite serveuse blonde aux yeux magnifiquement bleus, vint nous apporter nos apéritifs habituels non sans nous saluer. À peine avait-elle tourné les talons avec notre commande dans son tablier de dentelle qu’Hélène me rouspétat: — Tu ne peux pas t’en empêcher, il faut toujours que tu lui fasse les yeux doux! Tu ...