Aziz, ma femme et moi
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Gay
... passais lascivement mes mains entre mes cuisses relevées, et approchai mes doigts de mon trou. Je le trouvais souple, humide et brûlant.D’un petit coup, il me fit tourner la tête et abandonner ma tâche. Il se dirigea sans dire un mot vers le tas où se trouvait ma femme tout à l’heure. Il me regardait, impérial, méprisant. J’obéissais. Arrivé à sa hauteur, tête baissée, il m’attrapa par la bouche, me cracha soudainement au visage.- Chienne !Puis il me projeta sur le tas de linge : il avait compris qui j’étais, au fond. Je poussais un petit cri de surprise. Sur le ventre, les bras me retenant faiblement au linge autour de moi, j’avais les fesses relevées, et le visage au niveau du sol.Tournant légèrement la tête, je le vis se mettre à genoux, ses jambes enserrant les miennes, et son gland dépasser de ma raie. Il m’asséna une claque sonore sur la fesse.- Ecarte tes fesses, grosse pute !Encore une fois, je m’exécutais. Je baissais les yeux, rouge de honte. Aziz allait m’enfiler, comme une femelle. Et moi, je n’attendais que ça. Il avait raison. Je mouillais. J’étais une salope pour lui. Aziz rigolait. Il me faisait lécher les doigts avec lesquels il m’avait doigté et se moquait de moi :- Alors, c’est ça le mec qui voulait me défoncer tout à l’heure ? C’est bien un pédé soumis ça, trois claques et ça ferme sa grande gueule, ça baisse les yeux ! Et t’as trouvé ma bite quand t’as baissé les yeux, hein ? T’as vu, la mienne c’est une vraie. Ah, mais en fait, c’est ça ? Tu n’es pas ...
... jaloux parce que ta femme te trompe ? T’es jaloux parce que tu voulais la goûter toi aussi ! Ah, c’est bon une bite d’arabe, hein ? Tu la veux dans ton cul, hein, maintenant ? Alors, c’est qui l’homme ?Je n’en pouvais plus. J’étais humilié comme jamais, il m’avait battu, pris ma femme, mon honneur, et maintenant il voulait faire de moi sa femme. Mon anus s’ouvrait et se fermait tour à tour. Il était devenu vivant. Il avait faim. Son immense sexe coulissait dans ma raie humide. Sa main gauche pinçait mes fesses. Il prenait son droit.- Alors, c’est qui l’homme ici ? Réponds !- C’est toi, oh oui c’est toi, oui…Ma voix mourante exprimait autant ma défaite, ma soumission que mon désir.- Vas-y, je veux t’entendre me supplier, putain…Je ne tenais plus. Alors que ma femme s’installait à la place que j’occupais tout à l’heure, je l’implorais, le cul ouvert.- Oh prends-moi, prends-moi, vas-y, j’ai envie de ta grosse bite, je veux que tu me plantes ! Tu m’as fait jouir avec tes doigts, prends-moi ! Je ferai tout ce que tu veux, je te lècherai les pieds, je te téterai la bite mais pitié, BAISE-MOI !J’essayai de happer sa bite avec mon cul. Mais ce n’était apparemment pas suffisant. En face de mon corps haletant, ma femme se doigtait avec délectation, son regard plongé dans le mien.- Explique pourquoi c’est moi qui te baise, pourquoi c’est moi qui baise ta femme, et pas l’inverse, grosse tantouze.Je dégoulinais littéralement. Je lui aurais dit n’importe quoi.- Parce que t’es trop fort, parce ...