Aziz, ma femme et moi
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Gay
... répondais d’une voix aiguë :- C’est toi, c’est toi Aziz… Aziz…J’avais chaud, mes jambes et mon bassin tournaient tous seuls. J’avais les yeux mi-clos.- Alors, qu’est-ce que tu veux ?Mes idées n’étaient pas claires, mais l’instinct me faisait lui répondre.- S’il te plaît… S’il te plaît… Je t’en prie… Mets-moi un doigt ! J’ai envie ! ALLEZ ! S’IL-TE-PLAÎT AZIZ !!!Ces deux dernières phrases criées exprimaient bien à quel point cet homme avait su m’exciter. Ma femme rit.- D’accord, d’accord, je vais m’occuper de toi. Mais toi aussi, il faut que tu t’occupes de moi. D’accord ? Alors, pendant que je m’occupe de ton cul, tu vas t’occuper du mien.Il plaça ses fesses au-dessus de mon visage. Je projetais ma langue à la rencontre de son anus, sans dégoût mais avec envie, et rapprochais son très large postérieur de mes mains. Il y avait un goût un peu âcre qui m’excitait encore plus. Sitôt mis à ma besogne, lui entreprit mon trou. Il y fit pénétrer une phalange qu’il fit lentement tourner. Il prenait tout son temps. Mon sexe était bouillant, mais je ne pouvais m’en occuper. A la place, je poussais des gémissements plaintifs, en écartant mes jambes comme si je voulais me déchirer moi-même en deux.Bientôt, il fit entrer un doigt entier dans mon fondement. Il tourna pour élargir mes possibilités, et lorsque je fus un peu assoupli, il y joignit un second. De ses deux doigts, il entreprit de me masser la prostate. Je progressais dans la jouissance. De son autre main, il caressait « sa ...
... première femme », s’occupait de ses tétons, faisait courir sa paume sur sa nuque qu’il abaissa pour goûter sa verge. S’abaisser pour lui, le terme est bien choisi. Elle s’était abaissée pour vénérer sa virilité, je m’étais abaissé à nettoyer ce qu’il a de plus sale. On s’abaisse pour lui. Cet homme me rendait folle, il avait un talent immense pour s’occuper des femmes.Une seconde… Je ne suis pas une femme !!!Une caresse prodiguée par les doigts d’Aziz, courant dans mon rectum, fit s’évanouir cette réflexion. Je gémissais pour de bon, en continu. Un troisième vint rejoindre peu après ses deux frères. Pendant ce temps, ma langue s’enfonçait de plus en plus loin, visitait plus profondément son intimité. J’avais envie, en léchant ce cul, de lui sucer la bite. Comme je ne pouvais pas le faire, c’était son anus qui contentait ma faim. Car c’était cela : j’avais faim de lui. Soudain, ses doigts arrêtèrent leur mouvement. Il les retira. J’eus brutalement froid, et ressentis un vide profond. De la déception, aussi. Il se leva.Je le regardais, l’œil implorant. Comme une vulgaire salope, je me touchais les tétons, effleurais ma bite qui, à présent, ne m’intéressait plus. J’avais envie de lui. Je voyais son zob viril et imposant, doté de tous les droits, son ventre proéminent qui me dominait, ses cuisses puissantes et velues. Lui me regardait de toute sa hauteur. Il mit son pied sur ma bouche. Avec délectation, dans une totale soumission, je passais ma langue entre ses orteils en gémissant. Je ...