1. Aziz, ma femme et moi


    Datte: 10/07/2020, Catégories: Anal Hardcore, Gay

    ... main à saisir sa hampe, et fit d’elle-même les quelques centimètres qui lui manquaient pour prendre son gros zob en bouche. Il ne lui fallut pas longtemps pour gémir un peu : elle aimait cette position soumise. J’explosais. Je ne l’insultais pas elle, je l’invectivais lui :- Enculé ! Connard ! Espèce d’enfoiré, je vais te défoncer la gueule ! Je vais te baiser, toi et toute ta famille ! Ta mère c’est une...Je n’eus pas le temps de finir. Une grande claque me fit fermer la bouche. Une seconde. Une troisième. Bien fortes. J’avais mal.- Ferme ta bouche. Tu ne vas pas me casser la gueule, parce que c’est moi qui t’ai tabassé tout à l’heure. Même quand t’as tapé, je n’ai pas eu mal, pédé. Moi, je suis gentil avec ta femme, et c’est comme ça que tu me remercies ? Comment je dois le prendre, hein ? Tu viens, tu casses tout, et tu m’insultes ? Tu joues l’homme ? T’as vu, je t’ai mis trois claques, maintenant tu te tais. Alors c’est qui, l’homme ?Il s’était détendu. Il me donnait des petites claques. Je ne pouvais rien faire.- Baisse les yeux !Je baissais les yeux. Je sentais des larmes chaudes courir sur mes joues. J’entendis un claquement de doigts, puis vis ma femme venir à moi. Elle attrapa l’élastique de mon caleçon et entreprit de me le retirer.- T’as vu, t’as rien entre les jambes !Il posait son pied nu sur mes parties génitales recroquevillées, comme si elles voulaient se cacher. Je sentais ses orteils à l’intérieur de mes cuisses. Je regardais son pied comme s’il était le ...
    ... centre du monde. Mon sexe avait disparu dessous. J’entendis des bruits de succion à quelques centimètres de mes oreilles. Mes larmes redoublèrent. Je poussai un sanglot.- Lève les yeux !Je les levai, et mon regard s’arrêta à hauteur de sa bite. Elle était dressée, fièrement. Elle était effectivement plus longue, plus épaisse que la mienne, sans commune mesure. Les lèvres de ma femme couraient sur le gros zob d’Aziz. C’est avec délectation qu’elle prenait son gland en bouche entre deux coups de langue. Elle levait ses yeux vers le maghrébin. Sa voix descendit doucement jusqu’à moi :- T’as vu comme elle m’aime… C’est foutu mec, ta femme ne t’aimera plus jamais comme avant… Il paraît que la vie, c’est une compétition… Il y a des gagnants, il y a des perdants… C’est la défaite que je vois sur ton visage… Tu comprends ? Il faut que t’acceptes, maintenant…Je sentais sa main caresser mes cheveux. Il ramassa quelques bouillons de larmes sur son index, qu’il plaça devant moi. Je baissais les yeux en l’acceptant en bouche. Mon corps était entièrement relâché. J’avais abandonné, devant l’évidence. J’avais beau être prisonnier, je me sentais lâche, faible. Je me sentais peu de choses. Je pleurais de nouveau, en regardant le pied d’Aziz qui, lentement, me caressait la queue tantôt avec sa plante de pied, tantôt avec son talon. Je commençais à bander. Il prit mon sexe entre son gros orteil et le suivant pour le soulever, et faire quelques vas et viens. Il m’écrasait légèrement les testicules, ...
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