Aziz, ma femme et moi
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Gay
... la douleur irradiait peu à peu mon cerveau, mais une moite chaleur montait également de mon bas-ventre.- Tu sais, on ne peut pas être à deux sur la même femme. Je pense qu’il vaut mieux qu’elle ait un seul homme, c’est plus sain. Je crois qu’elle n’est pas assez maîtresse d’elle-même pour choisir, alors on va décider toi et moi rationnellement.Il parlait calmement, doucement. Je l’écoutais et relevais un regard humide vers lui. Il se mit à genoux, après avoir écarté mon épouse et mes jambes. Il approcha son sexe du mien. Il était beaucoup plus épais, et avait une ou plutôt deux belles longueurs d’avance. Ma gorge se nouait, mes sanglots reprirent et je devenais un peu mou.- Regarde. Tu vois la différence ? En plus, apparemment, tu n’arrives pas à rester très dur. Je suis aussi plus viril, plus fort. Je peux la protéger. Je peux la faire jouir. Et j’ai de l’argent.Il avait raison.- Viens ici, chérie.Elle se plaça à ma gauche, à genoux. Il la repoussa gentiment pour qu’elle bascule en arrière, les jambes écartées. Pendant qu’elle regardait nos deux sexes, je vis le con de la mère de mes enfants, rougi par une chevauchée terrifiante, menée par un étalon viril, s’ouvrir pour laisser s’échapper sur le carrelage un flot de sperme épais que j’eus été bien en peine de fournir.- Voilà. Je suis plus homme que toi. Tu comprends ?Je pleurais. Il mit sa main dans la chatte de ma femme, et y remua lentement les doigts. Elle fermait les yeux. Puis il les retira, luisants de son épaisse ...
... crème. Il les plaça devant nos yeux à tous deux, et admira son œuvre.- Regarde…Il avait littéralement rempli ma femme, lui avait fait oublier ma queue. Il lui faisait faire ce qu’il voulait, une chienne obéissante. Son mari n’était pas capable de la protéger. Son mari était attaché à un tuyau, son amant entre les cuisses, en train d’admirer le sperme d’un autre homme qui lui apprenait ce qu’était la virilité. La leçon n’était pas finie.- Tiens. On partage.Il dirigea lentement ses doigts vers ma bouche entrouverte, et les lava sur ma langue. Je goûtais pour la première fois du sperme, et non seulement, ce n’était pas le mien, mais c’était celui de l’homme qui avait conquis ma femme, et en plus, je ne faisais rien. J’étais humilié, car j’étais devenu incapable d’agir. J’avais abandonné. Mon sexe reprit du volume.Ses phalanges allaient et venaient sur ma langue, dessus, sur les côtés, dessous. Il replongea ensuite sa main dans « sa femme », en retira encore une belle coulée, et revins à ma bouche. Cette fois-ci, il badigeonna mes dents. Il défit en même temps les liens qui m’enserraient les bras. Ceux-ci tombèrent, ballants.- Tiens, c’est du dentifrice, c’est pour l’haleine… Attends, il te faut une brosse à dents aussi.Le gros maghrébin se releva. J’avais son sexe, dur, en face de moi. Je pris peur, mais il m’attrapa la tête entre ses deux mains puissantes et enfonça d’un coup sa puissance virile au fond de ma gorge. Mes dents s’écartaient seules sur son passage, ma mâchoire se ...