-
Méli-Mélo diabolo
Datte: 11/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... on file, on va s'aérer j'en peux plus de leurs clopes. * Il a fait basculer les portes de la Diablo haut d'un coup de sa zapette et ma blonde a dit, ce sera plus sympa allongée sur le cuir blanc italien que pliée en quatre dans ta boîte à gants teutone. Elle s'est coulée dans le baquet au ras du sol, tirant ses jupes bas sur ses cuisses et moi je pensais, elle n'a rien, pas de culotte, pas même de touffe pour la protéger. Ce chanteur va n'en faire qu'une bouchée. Izïa était déjà assise dans mon auto et me souriait. Elle me dit, ne sois pas triste, elle est ainsi Méli-Mélo, comme une abeille qui butine de partout goûtant tous les nectars ne se rassasiant d'aucun. Son miel a les parfums aux mille senteurs des garrigues du Languedoc. Izïa avait posé sa main sur mon pantalon et la simple chaleur de sa paume a presque instantanément raidi notre complicité. Rien n'est meilleur que ce geste de bienveillance et le sourd développement qui s'en suit. Gonflement extérieur entre les cuisses mais surtout bien-être général global de tout le corps. Tendresse de la chaleur de la peau, du cœur qui bat plus fort et du sang qui gonfle tous les vaisseaux. Le chanteur avait proposé de patiner sur les berges de Seine, voie Pompidou. Dimanche après-midi ensoleillé au milieu de milliers de Parisiens, garçons et filles, jeunes et sportifs. On devait se retrouver, équipés, chez Izïa qui crèche sur les quais, dessus Vilmorin. Quand on est arrivés, après petite halte à mon appart, la Lambo était déjà ...
... garée devant l'abri-bus Decau. Je me suis garé devant et nous sommes montés. Les deux tourtereaux nous attendaient, patins pendus autour du cou, en descendant un grand verre commun de jus d'orange. Moi je pensais, qui des deux avait donc la clef de chez Izïa, le chanteur ou la copine ? Si c'est le chanteur, alors c'est qu'ils sont en ménage ces deux-là. Faudra faire gaffe à pas faire d'impair. Et je repensais au vite fait bien fait dans mon entrée quelques minutes auparavant. Izïa les mains au mur et moi la besognant profondément, jupe levée sur la toison épaisse couvrant ses fesses. Faut dire que, dans l'auto, elle n'avait pas chômé, accompagnant chaque rétrogradage d'une puissante pression sur mon gland à travers les étoffes du pantalon et du boxer. Jamais je n'avais autant changé d'allure que ce jour-là sur un si petit parcours. Son orgasme n'avait pas suscité de cris ou de feulements. Côté vocalise, Izïa était fille discrète. Mais en revanche elle cambrait alors son arrière train de façon étonnante et t'essorait la bite avec une efficacité redoutable, ne laissant rien dans l'urètre, pas une goutte, nichts, nix. L'opération terminée, elle s'était dégagée brusquement, me laissant frustré d'apaisement chaleureux in the heat of the night. Mais, en se retournant m'avait embrassé au coin des lèvres en petit merci avec un regard gentil. Il avait fallu filer retrouver les autres après que j'eusse enfilé mes tennis et pris mes patins. Les deux, là, avaient l'air bien sages à siroter ...