Les routiers fêtent madame (1)
Datte: 06/10/2017,
Catégories:
Trash,
... baisser d’un geste impérieux de l’index. Stéphanie se surprend à sourire... "L’arroseur arrosé... Il va peut-être me demander mes papiers, qui sait", plaisante-t-elle pour elle-même, comme pour se rassurer. Sans quitter l’appétissant membre qui continue à durcir devant ses yeux, elle presse le bouton. La glace descend. Sans dire un mot, sans vraiment réfléchir, elle se saisit du sexe que son propriétaire abandonne à ses doigts experts, et fait glisser le gland entre ses lèvres rouges. Elle distingue un peu mieux le visage de l’individu qui penche la tête pour la regarder. Empâté, le teint rougeaud, le front dégarni, brun avec des cheveux grisonnants sur les tempes, il se décide enfin à lui adresser la parole, d’une voix grave et rocailleuse. — Qu’est ce que vous lui voulez à mon camion ? Il pointe du menton le semi-remorque à côté duquel la Porsche est arrêtée. — J’aurais fait un excès de vitesse ? Elle a quelque chose à me reprocher la fliquette ? C’est bien de me "causer" poliment ma cochonne, c’est un bon début... C’est que tu suces rudement bien... Ca fait partie de ta formation de pute de la route ? Il rit grassement. D’autres rires résonnent en écho au sien. Deux costauds qui se tenaient en retrait s’avancent à ses côtés, sexe au vent eux aussi. Les murmures suggèrent qu’ils sont plus nombreux encore, massés derrière leurs camarades et se bousculant pour voir. Le premier homme se retire. — Il en faut pour tout le monde, pas vrai ma poulette ? Tu vas en contrôler des ...
... routiers aujourd’hui... Ils sont sympas les routiers, ils sont généreux... Pas vrais les gars ? Une multitude de voix répondent oui ou ouais en un choeur désordonné. Un nouveau pénis pénètre la bouche de Stéphanie qui s’applique sans rechigner, faute d’autre choix, à prodiguer ses douceurs buccales. Les camionneurs entretiennent leur raideur à la main en attendant leur tour. Goguenards, ils passent l’un après l’autre devant la portière pour recevoir leur gâterie. A travers le pare-brise, le routier qui mène la danse, celui qui lui a fait baisser sa vitre, constate que la policière d’un jour continue elle aussi à s’entretenir. Il sourit, admiratif. — Vous devriez voir ça les gars ! Cette salope est en train de s’enfiler son gourdin ! Stéphanie n’a, en effet, pas laissé sa main libre au repos. Elle continue fébrilement à à se fourbir avec la matraque couverte de ses sécrétions vaginales blanchâtres. Entre ses jambes, le cuir noir du siège est luisant d’humidité. Les visages grimaçants se pressent aux carreaux. Tout autour du véhicule, on se pousse pour mieux voir, on plisse les yeux pour mieux distinguer, et on se masturbe plus fort encore devant le spectacle offert par l’indigne représentante de l’ordre en uniforme. Les verges gonflées vont et viennent dans sa bouche, les unes après les autres, alimentant un vertige de jouissance dans lequel ses inquiétudes se sont pour l’instant perdues. Le meneur interrompt ses camarade, et demande en ironisant à Stéphanie de sortir de la ...