1. Les routiers fêtent madame (1)


    Datte: 06/10/2017, Catégories: Trash,

    ... voiture. — Veuillez descendre du véhicule je vous prie. Nous allons devoir effectuer un contrôle approfondi.... Il ricane, alors que ses collègues ouvrent la portière et se saisissent sans ménagement de la jeune femme à nouveau gagnée par la panique. Plusieurs paires de mains l’empoignent et, malgré ses hurlements de protestation, la jettent sur le sol boueux du parking. *** Cédric ajuste son caméscope sur son trépied. Jusqu’ici, il ne pouvait pas voir grand chose, si ce n’est l’attroupement des camionneurs autour de son bolide. Cela fera une belle séquence d’introduction pour son film souvenir, mais ce qui va suivre devrait être beaucoup plus intéressant. Il s’est installé derrière des buissons qui le cachent, mais il n’a pas vraiment cherché à trop se dissimuler. Il tient à garder un bon point de vue sur la scène et, de toute façon, les routiers savent bien qu’il est là. Ils savent même qu’il ne veut rien manquer de ce qu’ils réservent à son épouse. Il a payé pour ça. Assis sur une large souche, il cadre en gros plan Stéphanie, échevelée, à genou au milieu du groupe de chauffeurs. Vareuse et chemise ouvertes, noeud de cravate desserré, elle laisse sans résister courir les mains de ses agresseurs sur sa poitrine. Cédric apprécie ces élégants sous vêtements qu’il ne connaissait pas, même s’ils s’ornent de quelques malencontreuses tâches de terre marron. Les bas nylons ont dû se filer lorsqu’elle a été mise à terre, mais il espère que ses hauts talons seront épargnés. Ces ...
    ... escarpins sont vraiment très jolis... Stéphanie a le regard dans le vague. Elle est à la fois inquiète et curieuse, paniquée et excitée. Elle attend, simplement... Elle laisse un premier sexe entrer dans sa bouche ; elle laisse ses doigts se faire guider vers un deuxième et un troisième. On tire violemment sur ses cheveux pour lui en faire avaler un nouveau ; on tire sur ses poignets pour l’amener à lâcher prise, pour qu’elle se saisisse d’autres triques. On se la dispute, on se l’arrache. Un gland glisse contre sa joue. Un autre se frotte contre son uniforme. Au milieu des rires et des grognements, les commentaires satisfaits vont bon train. — A mon tour, fliquette, allez, contrôle-moi bien la bite. — Branle-moi bien poulette, tu vas bien me sucer, hein ? — J’ai toujours rêvé de juter sur une tenue officielle, tu vas te faire asperger dans l’exercice de tes fonctions ! — Ouais, petite pute, on va te payer nos amendes en liquide ! Et tu vas encaisser un maximum... Stéphanie étouffe. Un pénis enfoncé de toute sa longueur lui obstrue la gorge. Deux fortes mains appuyées sur sa nuque la maintiennent fermement. Puis relâchent leur étreinte après de longues secondes. La jeune femme a à peine le temps de laisser échapper un lourd filet de bave glaireuse et de prendre une longue inspiration sifflante. Sa bouche est immédiatement réinvestie, sa tête une nouvelle fois contrainte. Leurs doigts s’agrippent à sa chevelure désordonnée, les siens branlent vigoureusement les membres désormais ...
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