1. Quatre, cinq, six...


    Datte: 12/07/2020, Catégories: ff, grp, couplus, cocus, Collègues / Travail Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, confession,

    ... « Je ne connaissais pas ton épouse. Voici la mienne. » avec une mimique qui veut dire « Nous pourrons échanger. » Mais le plus troublant est cet homme, ce jeune homme qui travaille aussi à l’hôpital. C’est un aide-soignant, et je l’avais convoqué, car on me rapportait qu’il avait été surpris avec une infirmière dans une chambre. L’infirmière tremblait de peur que je le dise à son mari, et j’ai compris à demi-mot qu’elle était prête à tout pour s’assurer mon silence. Mais je ne mange pas de ce pain-là. Lui avait fait la victime avec un « Elles en veulent toutes, je ne peux pas résister. » Je l’avais sermonné non pas parce qu’il couchait, mais parce qu’il le faisait dans un lieu public. J’avais oublié cette histoire avec ce garçon que j’avais classé dans la catégorie « mytho » lorsqu’il se présente un jour. Il prétexte ne pas oser consulter son médecin et me demande de l’examiner. Il me déballe alors sa tige en se plaignant de démangeaisons avec un « Je prends portant mes précautions, Docteur ; j’espère que ce n’est pas grave. » Je le rassure, lui prescris un gel, mais j’ai largement le temps de voir que l’homme n’est peut-être pas si mytho que cela vu la taille de son braquemart. Et que cette info doit sûrement circuler dans le milieu hospitalier. C’est un milieu particulier où côtoyer la maladie et la mort fait relativiser les choses. Alors comme moi j’ai ma cure « détox » avec la psy, beaucoup d’autres considèrent que ce qui se passe à l’hôpital est découplé du reste, et ...
    ... que s’envoyer en l’air ne compte pas. — Elle est très belle. Je ferai de mon mieux pour vous remercier. L’homme regarde derrière moi. Je suis son regard. Au centre de la pièce, Éric est avec ma femme. Il vient de lui enlever sa robe. Séverine est mal à l’aise, mais elle est magnifique. Je suis peut-être de parti-pris, mais je peux voir dans le regard des convives et par le silence qui s’installe que Séverine fait son petit effet. Déjà en temps normal, elle attire l’attention si elle se pomponne un peu. Pourtant c’est une figure imposée qui ne laisse pas beaucoup de place à l’improvisation. Il n’y a que la lingerie que nous avons pu choisir un peu, et encore pas la forme. Liona et Éric nous avaient prévenus des règles du jeu pour entrer dans cette confrérie, en particulier la première fois par une initiation avec un cérémonial bien établi. Mais c’est vraiment lorsque nous avons reçu une liste de sites web avec, à chaque fois, le lien qui conduisait à l’objet que nous devions commander en choisissant la bonne taille que nous avons compris. Et encore, chaque objet pris séparément, reçu au fil des jours et essayé pour vérifier la parfaite concordance ne donnait évidemment qu’une faible idée du but recherché. Le collier autour du cou est en cuir, en cuir noir. Un anneau est occupé par une laisse. Les maillons de la chaîne avaient fait frissonner Séverine lorsque je l’avais attachée et laissée pendre le long de sa colonne. Mais le plus beau, le plus élégant, le plus recherché, c’est ...
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