Au beau temps des guerres en dentelles et des libertins
Datte: 06/10/2017,
Catégories:
fhh,
uniforme,
entreseins,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
historique,
initfh,
... Comme chez nous, la fellation est ce que les hommes préfèrent. Prendre une femme par-derrière est très populaire. La prendre contre nature est aussi tout à fait licite. Et ils n’hésitent pas à s’accoupler en plein air. Il m’est arrivé une fois de voir les indigènes s’amuser à prendre une femme à plusieurs. Ces messieurs les joyeux cochons l’avaient coincée sur une sorte de banquette de feuilles. Elle s’était mise naturellement à chevaucher le premier. Le deuxième est venu planter son membre dans sa croupe et le troisième s’est introduit dans sa bouche. Il y a bien ce qu’ils appellent des « tabous », mais cela ne concerne pas les choses du sexe. Savez-vous qu’un de leur souverain, Kamehameha avait eu quarante épouses, sans compter les conquêtes occasionnelles et les esclaves. Une de ses femmes a eu une vingtaine d’amants. Catherine, vous aviez été prévenue : j’espère ne pas vous avoir trop horrifiée. La pauvre Catherine semble très gênée, à la fois embarrassée et excitée par ces confidences ; elle découvre un horizon insoupçonné, mais ne sait trop quelle contenance adopter face à deux hommes dans la force de l’âge et une femme aussi belle que sensuelle. À vingt ans, elle est toujours vierge, et s’il lui est arrivé de feuilleter discrètement les livres licencieux d’Elizabeth, jamais encore un homme n’a fait « cela » avec elle. Là, le rouge aux joues, elle est adorable. Une oie blanche bonne pour être dévorée. — Je vous ai bien entendu, mais j’ai du mal à concevoir certaines ...
... choses. Par exemple, quand vous parlez de « fellation », de « prise en bouche », de « pratiques sodomites », je… je trouve cela répugnant. Est-ce donc une pratique si courante chez les Français pour que vous ne soyez pas choqués par les mœurs de ces païens ? Elizabeth sourit et prend la parole : — Catherine, je disais qu’il était temps pour vous de découvrir la vie. Voulez-vous que je vous montre ? Et disant cela, Elizabeth se penche vers François. Elle ouvre le pont de sa culotte d’uniforme pour en sortir une verge de belle apparence qui commence déjà à bander et qu’elle caresse avec désinvolture du bout de ses jolis doigts. Le souffle court, François prie Dieu, le diable et tous les saints pour ne pas jouir trop vite. Jamais il n’aurait pensé que les choses iraient aussi rapidement. Visiblement, la libération des Américains commençait par celle de leurs femmes, et le puritanisme de la Nouvelle-Angleterre ne concernait pas toutes les colonies de la côte Est. Sans attendre, William s’est également mis à l’aise. Il est idéalement placé à côté de Catherine. — Catherine, ce membre saura vous donner beaucoup de plaisir si vous savez vous en occuper. Croyez-moi : vous disposerez d’un total ascendant sur votre mari. Et sur le monde. L’Histoire l’a montré : il n’y a pas de loi qu’un beau cul ne renverse. Ce soir, ce sera votre initiation… si vous le voulez bien. Sinon vous pouvez vous retirer ou bien regarder simplement. À vous de choisir. Aucun de ces messieurs ne vous en tiendra ...