Ma femme a une drôle d'idée de l'Education / réécrit (18)
Datte: 17/07/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... et que tu me baises comme un soudard ; je savais que j’aurais joui comme jamais... mais non rien. Trop gentil, trop bon, trop con. Tu trouvais refuge sur le net, dans un bouquin et ton ami Jack Daniels. Quel gâchis je m’en voulais à mort, parce qu’avec mes bêtises, moi aussi je me frustrais d’une sexualité que j’imaginais fantastique avec toi. Alors je trouvai ta bouteille de whisky dans ton tiroir, allai chercher un verre et je m’enivrai pour oublier toutes mes insuffisances et mon inconséquence. J’étais dans le salon en nuisette et déshabillé blanc, quand Damien me rejoignit, il revenait de son match de rugby. Il sentait la sueur et une chaleur de mâle intense irradiait de son corps, quand il me fit la bise. Le regard brillant ! Le salop savait que j’allais tomber dans ses rets, il me demanda ce que je fêtais ; je lui répondis, et le dialogue s’engagea... « Ma dépravation future. — Je ne comprends pas maman, pourquoi dis-tu cela ? — Parce que je fête, je me suis saoulée parce que je viens de découvrir que ton père me trompait avec deux collègues de bureau... en même temps. — En même temps ? — Oui, il y a une vidéo sur l’ordi qu’une des salopes vient de lui envoyer, il n’y a pas d’erreur possible ! — Voyons maman, je comprends que ce soit dur pour toi, mais ce n’est pas une raison pour te mettre dans cet état voyons. Et pourquoi parles-tu de dépravation ? Je ne vois pas le rapport ? — Moi si. Si je n’avais pas abandonné ton père, si j’avais été un peu plus « sexe », alors ...
... peut-être n’aurait-il pas eu besoin d’aller voir ailleurs. Maintenant il va me quitter pour une de ses deux salopes et je vais me retrouver seule, la quarantaine passée... et je n’intéresse plus personne. » Je me levai et fit glisser mon déshabillé révélant mon corps presque nu, à la vision de mon fils ainé, tant la nuisette était transparente. Damien eut un air un peu sidéré de me découvrir ainsi, il nota d’ailleurs que je ne portais rien en dessous... Son regard devint lubrique : « Mais non ma petite maman tu es encore très époustouflante pour ton âge, je suis sûr que plein d’hommes seraient encore en voie de te désirer. Ce qui te manque peut-être, c’est un peu de "peps", une vision plus récréative de ta sexualité. Je crois que ce qui a poussé papa à te tromper, c’est ton manque de sensualité, de provoquer un désir érotique chez l’autre. — Oh mon chéri comme tu peux comprendre les femmes. Tes mots font raisonner plein de choses en moi (elle se mit à pleurer)... aide-moi Damien s’il te plait, apprends-moi... — Maman je suis ton fils quand même. Ne pourrais-tu pas rechercher quelqu’un d’autre ? » Toujours complètement saoule, je mes serrais contre mon ainé, en pleurant. Il commença à m’enlacer et me caressa doucement les cheveux. Je sentais son membre viril contre mon pubis. Je me disais qu’il devait être assez gros. En tout cas, il bandait comme un taureau ! Son odeur de mâle en sueur, sa musculature que je sentais sous le teeshirt détrempé, me mettaient en transe. Une folle ...