1. Ma femme a une drôle d'idée de l'Education / réécrit (18)


    Datte: 17/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... envie me traversa l’esprit et me serra le ventre : j’avais envie de lui, je voulais me donner à lui pour oublier mon chagrin, me prouver que j’étais toujours une femme désirable et surtout... me venger de toi. Alors les choses allèrent très vite ; dans mes vapeurs éthyliques et mon envie insatiable de sexe, là tout de suite, je commençai à lui enlever son teeshirt avec vivacité, et sans que sache comment je me retrouvais nue, enlacée contre son corps, nu lui aussi. Je sentais son sexe bandé contre mon minou humide et son gland venir forcer l‘entrée de ma grotte. Mon Dieu j’avais une telle envie de baise, je n’avais plus ressenti cela depuis si longtemps... cela aurait pu être n’importe qui, du moment qu’il portât une bite. J’étais complètement désinhibée et ivre de sexe. Sans que je sache trop comment je me retrouvai dos sur le canapé, les jambes écartées en grand avec la bouche de mon fils ainé sur ma vulve, sa langue caressait mes lèvres et s’enfonçait dans ma chatte brulante de désir, tandis que je sentais un doigt inquisiteur venir branler mon petit bouton. Bientôt n’en pouvant plus sous le coup de l’orgasme, je hurlais ma jouissance et sans me reconnaitre, je criai : « Damien baise-moi, prends-moi comme la salope que je suis, je veux ta queue dans tous mes trous ! » Mais sa réaction m’étonna, il me regarda, piteux, et me dis : « Non maman j’ai trop honte de ce que je viens de faire, tu te rends compte un fils avec sa mère ? — Mais je t’en supplie, je te veux, baise- ...
    ... moi, prouve-moi que je suis encore une femme désirable ! — Non maman, désolé, je vais me doucher ... », et il se rhabilla. Alors qu’il montait les escaliers, comme une furie, je me précipitai sur le lui et je commençai à lui heurter le dos de mes bras, en hurlant : « Damien je te jure que si tu ne me baises pas maintenant, je me fous en l’air, je saute par la fenêtre, ou je prends la voiture et je me jette dans le premier ravin ! » Arrivée sur le palier, ivre, nue, le frappant sur le dos comme une harpie, il se retourna, un sourire mauvais aux lèvres et un regard sadique que je ne lui connaissais pas. Il me gifla d’un revers de la main qui m’envoya valdinguer sur la moquette. Je fus saisie : mon fils avait osé lever la main sur moi ! Mais au lieu d’être en colère, je sentis une délicieuse chaleur envahir mon bas ventre, j’étais encore à deux doigts de l’orgasme... j’avais aimé cette gifle. Étant légèrement dégrisée par ce geste très violent, je compris alors ma véritable nature : j’étais une soumise et complètement masochiste, j’avais adoré qu’un homme me fasse mal. Je me disais que j’étais folle, mais toutes les réactions de mon corps, ainsi que mon désir inassouvi pour cet homme qui était mon fils me montraient la vérité. Je comprenais à présent pourquoi je ne t’avais jamais respecté : j’attendais que tu me traites comme une trainée soumise, et chaque geste de gentillesse de ta part n’avait fait que prolonger et augmenter le mépris que j’avais à ton égard. En définitive, je ...