La servante
Datte: 07/10/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
fsoumise,
soubrette,
humilié(e),
couche,
Oral
fgode,
jeu,
uro,
... voudrais sentir le caoutchouc lorsque tu m’enfonceras Gustave à l’intérieur… Ne bouges pas, s’il te plaît !" Elle disposa les courroies autour des hanches de Denise et les boucla solidement. Denise se regarda dans la glace de l’armoire et devint de nouveau lubrique à la vue de sa culotte en caoutchouc mouillée et collant à sa peau, et du membre en caoutchouc dressé et raide. Elle vit le visage de Lisette bouleversé d’excitation et se retourna lentement. "Maintenant, je suis ton homme, Lisette. Maintenant je suis Gustave. Je me tiens avec toi au milieu d’une grande prairie. Tu es lubrique en regardant ma grosse queue, mais tu as peur, parce que tu es encore vierge. Je t’écarterai les jambes et je te l’enfoncerai !" Elle saisit Lisette aux épaules, la poussa doucement mais irrésistiblement vers son lit. Lisette tremblait d’émotion, de plaisir et aussi de peur. Pour une fois Denise la regarda différemment, comme un homme qui voudrait la violer. Elle ferma les yeux et se laissa guider. Elle avait toujours désiré avoir cela, un homme qui la violenterait doucement. Elle se mit tellement dans cette situation qu’elle se crispa et qu’elle commença à pisser de peur. Denise la jeta sur le drap de caoutchouc qui recouvrait le lit dans toute sa largeur, et la pénétra brutalement. Lisette se cabra, cherchant à se soustraire à la queue en caoutchouc. Mais Denise la clouait inexorablement sur le drap en caoutchouc et commença à la baiser à grands coups. La dessus, une étrange tension ...
... s’empara d’elle. Elle regarda attentivement sous elle, Lisette haletante, les jambes écartées et sut d’un seul coup ce qu’éprouve un homme lorsqu’il monte une femme, lorsqu’il la terrasse et la possède avec sa ’baguette magique’. Elle n’était plus Denise tout à coup, mais Gustave qui dépucelait Lisette maintenant consentante et soumise, les jambes écartées. Cette pensée excita considérablement Denise. La culotte mouillée et le pieu en caoutchouc bouclé directement sur sa moule firent le reste en gonflant son clitoris. Lorsque Lisette commença à gigoter sous elle, Denise jouit encore une fois et tomba frémissante sur son amie qui gémissait violemment. Enlacées étroitement, elles laissèrent fondre leur excitation. Alors Denise retira avec un bruit de succion, le membre en caoutchouc de la chatte ruisselante de Lisette et se leva un peu raidie. Elle jeta un regard à sa montre et dit : "Nous devons nous lever. Il est déjà huit heures et je ne voudrais pas, le premier jour aller en retard chez ta mère." Lisette s’étira sur le drap en caoutchouc et, frémissante, pressa ses deux mains entre ses cuisses. "Ha, Denise !" soupira-t-elle, "pourquoi n’es tu pas un homme ? Tu m’as vraiment fait l’amour. Je suis venue à l’orgasme en courant. Je voudrais chaque jour me laisser baiser par toi, toi, le magnifique membre et le caoutchouc… Simplement divin." Un quart d’heure plus tard, Denise était de nouveau une femme de chambre. Toutes les traces du combat amoureux précédent avaient disparu. Dans sa ...