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La servante
Datte: 07/10/2017, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, soubrette, humilié(e), couche, Oral fgode, jeu, uro,
... revoir. Jusqu’au dîner." "Au revoir, Jacques." Elle lui tendit la main et dit en riant : "Dites-moi simplement Denise. J’espère que nous nous entendrons bien ensemble." Là-dessus il fit un mouvement du pouce en direction de la maison et de nouveau sur son visage de pirate audacieux, apparut une grimace joyeuse et puérile. Rêveuse, elle le suivit des yeux lorsqu’il retourna lentement vers la voiture et s’assit sur le siège. Que voulait dire Jacques avec ses allusions ? Denise avait 28 ans. Depuis sa dix-huitième année elle travaillait comme femme de chambre, et elle avait acquis une grande expérience de la vie. Bien qu’au service exclusif des dames dans une maison il était usuel que les hommes par nature, du maître de maison en passant par le valet de chambre jusqu’au jardinier aient des prétentions de possession plus ou moins palpable contre lesquelles Denise pouvait quelquefois difficilement se défendre. Maintenant Denise n’était plus prude. Celui qui lui plaisait avait tout à fait sa chance auprès d’elle. Seulement elle voulait elle-même décider avec lequel elle se mettrait au lit, ou pour lequel elle se coucherait une fois rapidement sur un banc de jardin. Mais qu’attendait-elle, ici, au Domaine de Saint-Montagneux ? Elle se raidit, prit sa valise et frappa au lourd heurtoir bronzé. Des pas résonnèrent dans la maison, la porte s’ouvrit, et devant Denise se tint une jeune-fille assez potelée, avec un petit nez retroussé, des amusantes taches de rousseur et des cheveux ...
... bruns bouclés en désordre. La tête bouclée lorgna curieusement Denise et dit ensuite favorablement : "Mais tu es jolie. Nous n’avons encore jamais eu ici une aussi jolie jeune-fille, alors tu es Denise, la nouvelle servante, pas vrai? Maman m’a dit que tu arriverais aujourd’hui." Denise approuva de la tête et entra dans le vaste vestibule. La tête bouclée lui tendit une petite main ferme et dit : "Bienvenue à Saint-Montagneux. Je suis Mademoiselle Lisette." Là-dessus, elle pinça les lèvres d’une manière distinguée et sur son visage agréable et espiègle apparut une grimace qui se brisa aussitôt dans un rire joyeux et dit : "Dis-moi tranquillement Lisette, lorsque nous serons entre nous. Je ne suis ni sévère ni consciente des traditions comme maman et grand-père Pierre. Viens, je te montre ta chambre et ensuite je te présente à maman." Lisette laissait monter autour d’elle une odeur douçatre et acide que Denise ne pouvait localiser. Elle regarda la jeune fille montant les escaliers devant elle, les cuisses et les fesses fermes sous une robe d’été courte et légère et elle pensa en plus que la petite avait une culotte impossible à mettre. Lisette, d’une voix joyeuse l’arracha à ses pensées. "Nous y sommes. Tu habites là." La petite chambre était claire et gaie. Le regard de Denise détailla l’installation simple mais propre et resta accroché au lit fraîchement fait. Elle regarda d’un air interrogateur Lisette qui ouvrit le lit et effleura je drap lisse de couleur rouge brun. "C’est un ...