1. Dernier épisode... ?


    Datte: 23/07/2020, Catégories: fh, ffh, Inceste / Tabou magasin, parking, anniversai, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, jeu, conte,

    Le téléphone avait dû fonctionner entre les cousines. Marie-France avait sans doute raconté son week-end à Martine et Évelyne, qui rêvait, j’en suis certain, de me « prêter » à son autre cousine, avait également dû lui parler. Tant et si bien que Martine trouva je-ne-sais-quelle excuse pour abandonner, un week-end entier, son ami. Elle devait venir en train et je devais aller la chercher à la gare. Elle me sauta au cou, se collant à moi, se frottant, voulant sans doute vérifier si ma réaction était à la hauteur de son attente. Elle le fut et elle s’en aperçut. Le week-end s’annonçait sous les meilleurs auspices. Les bagages dans le coffre, toujours galant mais avec toujours une arrière-pensée, j’ouvris la porte à ma passagère qui aurait été déçue si je ne l’avais pas fait ; la suite me le confirma. Prenant tout son temps, elle ouvrit largement les jambes, releva sa jupe et me dit : — Puisque tu l’as aimé. Et je crus défaillir. Elle avait son body, défait, comme pour le mariage, découvrant sa toison de brune. J’étais ravi de la tournure que prenaient les choses. Une fois au volant, elle me fit sentir et m’introduisit dans la bouche un doigt chargé d’une odeur et d’un goût que je reconnus et qu’elle était allée recueillir en un endroit que je n’allais pas tarder à visiter avec, je l’espérais, mes doigts, mon nez, ma langue et, sûrement aussi, mon sexe. Rien que du bonheur en perspective. Arrivés dans le parking je me hâtais de tenir la porte pendant que Martine sortait. ...
    ... Encore une fois, elle prit son temps, posant le pied droit au sol pendant que le gauche était encore dans la voiture, jupe, bien sûr totalement relevée. Elle pivota légèrement pour me faire face, se pencha en arrière jusqu’à se coucher sur le siège du chauffeur, posa son pied gauche sur le tableau de bord, le droit contre le montant de la portière, les fesses au bord du siège elle ne bougea plus. Je ne pus résister à la tentation et jetai mon visage dans ce que, sans retenue, elle m’offrait. Son odeur, je retrouvais son odeur, et son goût, la première des trois cousines que j’avais pleinement appréciée, dégusté, l’épisode sous la table avec Marie-France ayant été trop bref. Vite, son clitoris, quelqu’un pourrait nous découvrir. Ce premier contact aboutit très vite à un orgasme ; elle était prête bien avant l’arrivée du train, j’en suis convaincu. Je me relevai, le visage un peu humide de ses sécrétions, mais tant pis. Ascenseur, et arrivée chez nous. Bises des cousines. Baiser sur les lèvres d’Évelyne. — Déjà ! dit-elle, ayant senti cette odeur si particulière et nous regardant tous les deux en souriant.— Excuse-moi, répondit Martine, je n’en pouvais plus, j’ai pensé à mon cousin pendant tout le voyage et, lorsque je l’ai vu sur le quai, j’ai failli lui sauter dessus. J’avais besoin qu’il me soulage au plus tôt, j’avais besoin de sa bouche… Et j’en ai encore envie… Déshabillage général et direction la chambre. Évelyne, voyant Martine quitter sa jupe, découvrant le body ouvert ...
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