1. Dernier épisode... ?


    Datte: 23/07/2020, Catégories: fh, ffh, Inceste / Tabou magasin, parking, anniversai, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, jeu, conte,

    ... déshabillèrent, me déshabillèrent et me demandèrent ce qui, pour mon anniversaire, sexuellement évidemment, me ferait plaisir. — Vous aimer toutes les deux, mais vous laisser mener le jeu. La question était claire, la réponse précise. Me voici à nouveau couché sur le dos, bras en croix. Martine, un pied de chaque côté de moi, s’agenouilla et descendit lentement jusqu’à ce que ses poils touchent mon visage. Évelyne, de son côté, descendit jusqu’à ce que les siens touchent mon sexe. Et elles terminèrent leur descente, l’une cherchant ma langue, l’autre trouvant ce qu’elle savait qui allait la pénétrer. Elles se faisaient face, se regardant, jugeant chacune du plaisir de l’autre, parfaitement complices, aimées par le cousin, depuis toujours leur jouet sexuel. Mais quel plaisir de fouiller du visage un sexe qui vous attend, de trouver, sans chercher, ce qui va être apprécié. Et quel plaisir de se sentir, planté dans le sexe aimé, palpiter et sans bouger, provoquer l’extase chez sa partenaire. Leurs yeux toujours rivés, s’embuèrent ensemble puisque, ensemble, se tenant les mains, elles atteignirent l’orgasme que je réussis à contrôler moi-même. Relevées pour détendre leurs jambes, elles décidèrent de changer de place. Ce fut donc le sexe d’Évelyne qui vint se poser sur ma bouche et celui de Martine que le mien pénétra. Je sentis, aux mêmes frissons qui parcouraient leurs deux corps, combien elles étaient complices, combien elles voulaient me faire plaisir et combien elles ...
    ... prenaient le leur. Et le leur, n’étant pas de bois, allait provoquer le mien. Elles comprirent, sans que je ne dise rien, que je voulais essayer de durer. Aussi me laissèrent-elles respirer, pendant que, heureuses, elles s’embrassaient amicalement, enlacées, comme fondues l’une dans l’autre. Évelyne se rasseyant, signifia ainsi à Martine qu’elle lui laissait le champ libre. Anniversaire ou pas, celle-ci n’était là que pour le week-end, et Évelyne devait la laisser jouir de moi au maximum. Martine, après un dernier baiser sur la joue d’Évelyne, s’allongea sur le dos, à côté de moi, relevant ses jambes en V, elle me dit : — Viens ! Et je ne me fis pas prier. J’entrai en elle avec le maximum de douceur et de lenteur et me laissai tomber, écrasant ses seins de ma poitrine. Je sentais qu’elle sentait les palpitations de mon sexe au plus profond d’elle-même et que celles-ci n’allaient pas tarder à l’emporter. Je les connaissais bien, mes cousines. Lorsqu’elle démarra, j’entrepris un pilonnage qui l’électrisa littéralement, la faisant crier, gesticuler, jouir. Mais je la tenais, ses jambes relevées par mes bras ; elle ne pouvait m’éjecter. Aussi longtemps que je le pus, j’entretins cette jouissance qui dépassait largement celles que je lui connaissais, et qui se termina par un quasi-hurlement lorsqu’elle me sentit me déverser au fond d’elle. Je me dégageai alors pour la laisser respirer. Elle se retourna alors, fit rapidement grimper ses jambes le plus haut possible contre le mur, le dos ...
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