1. Dernier épisode... ?


    Datte: 23/07/2020, Catégories: fh, ffh, Inceste / Tabou magasin, parking, anniversai, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, jeu, conte,

    ... bouclait. Tout était écrit, depuis le baquet de notre enfance, depuis que nous avions ressenti que nos corps ne pouvaient se passer l’un de l’autre. Etait-ce notre consanguinité qui exacerbait notre désir, notre libido ? Je l’ignore mais nous savons désormais, mes trois cousines et moi, que nous ne pourrons plus nous passer de faire l’amour ensemble. Je ne sais pas si je suis dépendant d’elles, vivant toute l’année avec Évelyne, mais je sais maintenant qu’elles sont dépendantes de moi. Je viens de découvrir ce qui est depuis toujours une évidence. Je n’en tire aucune fierté, aucun orgueil - à quoi bon d’ailleurs -, car je n’y suis pour rien ; les choses se sont imposées d’elles-mêmes. Simplement, mes cousines, vivant par ailleurs en parfaite harmonie avec leurs conjoints - elles me l’ont dit elles-mêmes -, ayant une vie sexuelle satisfaisante, avaient besoin de l’amour que nous pouvions nous faire. Elles en repartaient revigorées. Se « connectant » à moi, elles rechargeaient en quelque sorte leurs batteries. Je pense que la vérité est là, cette charge électrique entre nous que nous avons toujours ressentie, nous avions besoin de la faire passer de l’un à l’autre et l’amour en était le meilleur conducteur. Aucun mal, aucun vice, aucune pensée perverse n’a jamais traversé nos esprits. Nous tenions ...
    ... évidemment nos familles, qui avaient finalement accepté en maugréant le couple que je formais avec Évelyne, en dehors de tout ceci. Nous nous rencontrions car nous étions cousins, un point c’est tout. Nous dûmes, pour que nul soupçon n’apparaisse, inviter les conjoints de Martine et Marie-France. Nous faisions en sorte que les deux couples nous rejoignent en même temps et nous vivions alors comme tous les couples, repas, ballades, randonnée, mais sans plus. Il n’aurait plus manqué qu’ils prennent plaisir à nous fréquenter. Mais quelle frustration d’avoir ainsi mes deux cousines-amantes auprès de moi, et de ne pouvoir les honorer comme elles le méritaient et comme elles l’auraient souhaité. Sans nous être concertés, nous évitions tous le moindre geste équivoque, la moindre attitude ou le moindre regard. Nous étions cousins, et c’est tout. Marie-France et Martine, chacune de son côté, dès qu’elles le pouvaient, faisant vibrer la fibre de la famille, échappaient à leur mari pour des week-ends chez nous où elles venaient recharger leurs batteries Je ne les ai jamais forcées, tout ce qui a été fait, l’a été à leur initiative, au moment qu’elles avaient choisi. J’ai toujours accepté ce qu’elles m’ont longtemps refusé tout comme j’ai rapidement accepté ce qu’elles m’ont accordé. Je ne les ai jamais trompées. 
«12...4567»