1. Dernier épisode... ?


    Datte: 23/07/2020, Catégories: fh, ffh, Inceste / Tabou magasin, parking, anniversai, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, jeu, conte,

    ... contre la tête de lit, son corps ne reposant sur le lit que grâce à ses coudes et sa nuque. — Je veux te garder, me dit-elle, écartant et resserrant ses jambes. Je montai alors sur le lit, mes pieds de chaque côté de sa tête, les mains tenant la tête de lit, et j’enfouis mon visage dans le V qu’elle me présentait. — Nooooon ! supplia-t-elle. Un non qui, évidemment voulait dire oui. Du bout de la langue, très doucement, je chatouillai son clitoris, dont elle me facilitait l’accès en écartant davantage les jambes, cessant lorsque je la sentais prête, recommençant, cessant à nouveau et enfin le saisissant entre mes lèvres, le mordillant jusqu’à l’explosion qui la fit s’écrouler, abattue par son propre plaisir. — Ouaaah, cousin ! conclut-elle. Le lendemain fut une journée très agitée également avec un moment dont je garde encore le souvenir précis. Ma cousine à genoux et sur les coudes, me présentant son sexe ouvert, semblant m’appeler. De la langue je dégage le passage, écartant les poils, glissant entre les lèvres humides. Puis je me positionne pour prendre Martine en levrette. Mais tout en douceur et avec un contact réduit à son strict minimum. Lentement mon sexe prend position et entreprend un lent va-et-vient. Notre seul point de contact est constitué de nos sexes, le mien dans le sien, et c’est tout, ni les mains, ni les jambes, ni les cuisses, et nous faisons tout pour que ce divin moment ne soit perturbé en rien. L’un dans l’autre, tout simplement. L’aboutissement de ...
    ... nos désirs sans doute refoulés depuis longtemps, mais qu’aujourd’hui, nous pouvons satisfaire, dans nos intérêts communs, manifestement. Et le va-et-vient se poursuit, très lentement, mais très profondément. Je glisse dans un fourreau exactement ajusté à mon glaive. Je sens ma cousine intéressée par ce que je suis en train de lui faire subir. Je l’entends soupirer, je la sens se resserrer, mais imperturbablement, je vais et je viens, entre ses reins. Je pressens une fin sublime à ces allées et venues car mon plaisir est en route. Je me sens de plus en plus dur et je dois faire quelques efforts pour ne pas exploser tout de suite. Ce n’est que lorsque je sens Martine incapable de se contrôler davantage que j’accélère le mouvement qui se terminera, planté jusqu’à la garde et éjaculant tout au fond de ma cousine qui se tortille, jouissant de me sentir me déverser en elle. Et nous restons là un long moment, sans avoir rien changé, sans nous toucher si ce n’est avec nos seuls sexes, le mien mollissant et se retirant progressivement. Martine ne bouge pas et je peux voir s’écouler de ses lèvres une partie de ce que je viens d’y déposer. Sa tête dans l’oreiller elle semble décidée à s’endormir dans cette position. Je ne me lasse pas de cette vue de la partie de son corps que je voudrais ne jamais quitter. Attend-elle que je revienne ? Je le pense, mais il me faudra bien quelques instants pour récupérer. Tenant entre mes doigts ma verge je présente le bout entre ses lèvres. Il ne lui en ...
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