1. Mailez-vous de vos affaires...


    Datte: 24/07/2020, Catégories: fh, ff, ffh, couple, extracon, Collègues / Travail telnet, vengeance, chantage, revede, intermast, Oral pénétratio, fsodo,

    ... palpa pendant deux ou trois interminables secondes. — Pas extraordinaire. Elle parlait à peine. Elle eut un bruit de déglutition. Elle baissa la tête et mit son visage dans ses mains. — Rhabille-toi ! Elle penchait la tête et le corps voûté, elle revint à la voiture pendant que Françoise se revêtait. L’agressivité avait totalement disparu. Il ne restait plus qu’une grande tristesse. Quand Françoise revint à la voiture, Christine regardait devant elle. — Je ne serai pas la victime de deux tordus. Si tu n’exécutes pas mes instructions, je dis tout. Il n’y a pas de raison que je sois la seule cocue dans l’histoire. Tu vas me prêter ton mec. Je l’ai déjà vu à l’usine. Il n’est pas mal lui. Je veux me le faire. Il n’y a pas de raison que toi tu sois la seule à t’envoyer en l’air. Elle sortit une boîte de Dvd. — Tiens. C’est un porno. Tu vas le passer ce soir, et les prochains jours tu l’apprendras par cœur. Je veux que ton mec soit excité comme un pou. Avec ça, il va bander dur. Et toi, ma salope, tu vas te documenter, et tu vas mettre en pratique. Tu m’as l’air drôlement coincée pour le moment. Je veux que tu donnes de bonnes idées à ton petit mari. Je te contacterai pour voir si tu t’es bien fait mettre partout. Et après on passera aux choses sérieuses… Françoise ne disait rien. Effondrée. — Pas de panique. Tu ne souffriras pas trop longtemps. Peut-être même que tu me remercieras ! Elle démarra et déposa Françoise devant chez elle. Françoise trouva Pascal à la maison en ...
    ... rentrant. — Tiens, qui c’est celle-là ? Demanda-t-il.— Une amie de l’usine. Elle travaille aux stocks. Elle a proposé de me raccompagner. Christine, elle s’appelle.— Tu devrais l’inviter un de ces soirs.— On verra. Je vais me coucher, je suis fatiguée. Françoise s’écroula et dormit tout l’après-midi. Quand elle se réveilla, elle descendit en peignoir à la cuisine et trouva le Dvd sur la table. Elle blêmit. Elle l’avait caché dans son sac à main. Pascal avait dû le trouver en prenant de l’argent dans le porte-monnaie. Comment expliquer cela ? Pour l’instant, il semblait sorti, mais il reviendrait bien vite. Françoise se mit à pleurer. La poisse. Pascal rentra quelques minutes plus tard. Il était allé chercher des clopes. Il rentra dans la cuisine, s’assit à la table et montrant le Dvd demanda avec une douceur incroyable pour Françoise : — C’est toi ? Tu l’as acheté ? Tu as des envies coquines ? Oh, oh !— Oui, enfin, j’ai l’impression que tu t’ennuyais plutôt en ce moment. J’ai pensé que ça nous changerait… Tu sais, il y en a plein qui regardent ça tous les jours….. Une fois n’est pas coutume….. Pascal se leva, s’agenouilla devant elle et l’embrassa d’une façon qui ne laissait aucun doute sur sa satisfaction. Il la pelota fermement. — Eh bien, j’aurais jamais osé te le demander. Mais c’est vrai que ça me tentait depuis pas mal de temps. Tout le monde regarde ce genre de films mais nous on se contente de notre routine. Allez, viens, j’ai hâte. Je crois que je bande, rien que d’y penser. ...
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