Mailez-vous de vos affaires...
Datte: 24/07/2020,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
telnet,
vengeance,
chantage,
revede,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... enverrait un signe. Mais ce jour-là, il ne se passa rien. Le lendemain non plus. Ce fut le surlendemain qu’elle le croisa, de loin. Il sortait d’un bureau et se dirigea vers la sortie. Elle ne vit que son dos. Elle aurait pu le transpercer de là où elle se tenait. Finalement, un peu plus tard dans la journée, elle le croisa pour de bon. Elle lui lança un regard furtif en passant, mais lui fit semblant de rien. Il y avait une autre femme dans le couloir et Françoise se dit que vraiment, elle ne risquait rien; leur secret serait bien gardé. En réalité, elle était un peu déçue qu’il ne daigne même pas lui adresser un petit clin d’œil. Le soir venu, Val ne fit même pas allusion à leur rencontre dans le couloir. Dans son message, elle le félicitait de son attitude. Lui, ne releva même pas. Il était trop occupé à lui raconter ses frasques conjugales. Sa femme travaillant dans l’entreprise, lui avait donné rendez-vous aux toilettes. Ils étaient rentrés tous les deux dans une cabine et ils avaient baisé ; lui assis sur le siège et elle sur lui. C’était la première fois qu’ils s’y prenaient comme ça. Ils avaient décidé de recommencer aussitôt que possible. Val, lui, avait failli faire une bêtise. Au moment de jouir, il avait manqué dire « Françoise! » car c’était à elle qu’il pensait à ce moment-là. Il détaillait l’acte et ses sensations mais c’était la présence virtuelle de Françoise qui était la plus importante. C’est elle qui garantissait la bonne fin de la séance. Françoise avait ...
... vu en imagination la scène remplaçant la femme par elle-même. Elle lui répondit en lui posant des questions sur le danger de se faire surprendre. Tout cela était bien aventureux. Pour elle, ces exploits sexuels n’étaient pas à l’ordre du jour, trop compliqué, mais ces lettres faisaient leur petit effet. Ce soir-là, Françoise et Pascal firent l’amour un peu différemment. Elle se mit sur lui en lui tournant le dos. Elle s’effondra après l’orgasme dans un plaisir et une détente totale. Les échanges de lettres continuèrent ainsi pendant quelque temps mais un beau matin Françoise reçut un mail inquiétant : « Ça ne va pas se passer comme ça, salope ! » L’origine du mail était inconnue : Christine303. Françoise eut un coup au cœur et sentit aussitôt que quelque chose de néfaste se profilait. Et elle en eut confirmation l’après-midi même. Une employée de l’usine, chargée des stocks, une femme de trente-cinq ans l’aborda dans son bureau. Elle entra sans frapper, se posta, bras croisés devant elle et, la regardant fixement et méchamment lui dit : — Rendez-vous à 18 heures devant le portail. Mes amitiés à Val !, puis elle tourna les talons et ressortit en claquant la porte. Françoise terrorisée préféra oublier l’incident mais à 18 heures, Christine était devant l’entrée de l’usine. Françoise, après un timide bonsoir dut essuyer un torrent de reproches: — Alors madame la curieuse, on espionne la vie privée des autres, on aime bien se mêler des autres couples ? On baise par Internet avec ...