Mailez-vous de vos affaires...
Datte: 24/07/2020,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
telnet,
vengeance,
chantage,
revede,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... les hommes des autres ? Mais ça ne va pas se passer comme ça ! J’ai tout lu ! Je ne vais pas me laisser faire ! Je vous enverrai bientôt de mes nouvelles, à toi et à ton petit mari peut-être bien, parce que je me demande s’il est au courant de tes mics-macs. Et sur ce, elle partit, fulminante. Françoise était effondrée. Elle voyait déjà sa vie de couple détruite. Jamais son Pascal n’accepterait même une relation purement verbale. Elle était foutue ! Foutue ! Rentrant à la maison, elle reçut un message d’adieu de Val qui lui apprenait, un peu tard que Christine avait lu sa correspondance et l’avait vertement secoué. Un message de Christine arriva un peu plus tard. « Je vous attends samedi à 14 heures pour vous donner mes conditions. » Ça sentait le chantage. Paradoxalement la tournure de la situation rassura Françoise. S’il y avait chantage, il y aurait transaction et donc possibilité d’échapper à une révélation brutale, à des explications pénibles avec Pascal. Françoise réussit à dormir un peu cette nuit-là, quoiqu’elle ait un peu rudement refusé les avances de son mari : trop fatiguée pour la bagatelle. Et le samedi à 14 heures, Christine la faisait monter dans sa voiture : destination inconnue. La Mégane les emmena dans un silence glacial jusqu’à une forêt des environs. Elle s’arrêta au bord d’un chemin de terre isolé. Françoise s’attendait à voir son ennemie sortir une arme et la tuer dans un accès de jalousie, mais le silence entre les deux femmes excluait un geste ...
... désespéré. Christine prit enfin la parole : — Bon, j’ai bien réfléchi à notre situation. Je pourrais tout foutre en l’air si je voulais, mais je crois que ça ne me mènerait nulle part et j’ai assez payé pour vos manigances. Vous vous êtes bien foutus de moi, mais maintenant j’ai les cartes en main. Alors je vais te proposer un marché. Françoise ne répondait pas, impuissante à agir. — D’abord, on va aller dans ce bois, et tu vas te mettre à poil, parce que je veux voir ce qui excite tant mon mec et tu me demanderas pardon. Après tu verras. Allez, suis-moi ! Elles sortirent et s’écartèrent du chemin. Il faisait très beau, la forêt était superbe et accueillante. Un carré de mousse éclairé des rayons du soleil de printemps fit l’affaire. — Là ! Françoise était comme absente, et la solitude, la quiétude, du lieu finirent par la décider. Elle se dévêtit tranquillement, posant ses affaires avec soin et se retrouva nue, les deux mains devant le sexe, devant son adversaire narquoise mais silencieuse. — Alors quoi ? Tu n’es pas si terrible. Christine tournait autour d’elle. — Retire tes mains. Je veux la voir ! Françoise plaça ses deux mains le long des cuisses, tétanisée, incapable d’un mouvement. C’était à peine si elle avait conscience du lieu. Elle essayait de s’absenter intérieurement. Christine s’approcha encore, tournant autour d’elle. Puis elle posa la main sur les fesses de Françoise et les tâta, sans violence. Elle s’approcha encore plus, dans le dos et prit sa poitrine qu’elle ...